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 The fire rises [Sohan]

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AuteurMessage
Dolores Sterling

Dolores Sterling


∴ Pseudo : Milie.
∴ Pronom irl : Elle.
∴ Posts : 51
∴ Faceclaim : Emily Blunt.
∴ Merci à : Lux Aeterna (avatar)
∴ Âge : 35 ans.
∴ Pronom inrp : Elle.
∴ Occupation : Co-gérante avec Gali du Pandémonium, un club de strip tease huppé et réputé à Exeter, employant ces créatures humaines destinées à donner du rêve à celui qui a cessé de s’émerveiller.
∴ A Exeter depuis : Depuis qu’elle a vingt ans, ayant suivi l’amour pour connaître un mariage, puis un divorce. Elle est origine de Chicago.
∴ Statut : Divorcée d’Harlan Sterling mais pas moins lié pour toujours à cet homme qu’elle a aimé par le pognon dont elle comble le coeur de sa présence. Si pour certains, l’argent ne fait pas le bonheur, chez Dolores, c’est une raison de vivre. Et un moyen de s’acheter des chaussures.
∴ Place : Dolores est soit au Pandémonium, soit chez elle, soit dans des boutiques de luxe occupée à dilapider son argent.
∴ Vice : Dolores est une femme vénale et intéressée. Elle aime l’argent et les jolies choses. Matérialiste, elle en oublie qu’elle a un coeur, transformé mister freezer dans un coin de son congélateur. Dénuée de compassion, elle est aussi froide qu’un iceberg.
∴ Free land :

Les RPs en cours:
Gali (FB) ; Hera ; Sohan ; Sloan

à venir: Gali



∴ Triggers, refuse de jouer : Toujours la même chose : je peux jouer de tout, comme je m’adapte également.
∴ Présentation : Only the winds
∴ Liens : Le diable s'habille en prada

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MessageSujet: The fire rises [Sohan]   The fire rises [Sohan] EmptyMer 10 Fév - 15:07

« Allez, grimpe, on ne va pas y passer la nuit. » C’est sur ces mots que Dolores ouvre la porte en laissant la blessée avancer en claudiquant et s’installer dans la luxueuse voiture de la blonde. Les aléas sont des parts indépendantes de la volonté de ceux qui la subissent. On peut alors tout excuser, se dire que c’est la faute à pas de chance. Mais surtout, ne pas s’en vouloir de le voir arriver.
Pourtant, Dolores ne peut se résoudre à laisser un semblant d’humanité s’infiltrer dans les pores de sa peau. Elle en a plein le cul de cette soirée, des plans qui tournent au vinaigre lui donnant le sentiment qu’elle aurait mieux fait de rester au lit plutôt que d’essayer de se lever, de tirer quelque chose de positif. Ce genre de situation, où rien ne va, a toujours tendance à la foutre en rogne, lui décrétant ainsi une humeur de chien telle qu’en général, les gens l’évitent.
Ce qui aurait été le cas d’Ashley. Si elle avait pu, elle se serait enfuie loin du Pandemonium et de la colère des gérants. Entre Dolores et Gali, le constat est clair : il faut que tout roule. Tout fonctionne. Tout aille au poil près, qu’il n’y ait pas le moindre frisottis ou poil de cul traînant sur la cuvette des chiottes. Tout doit être parfait et malheureusement, ça ne l’est pas. Du moins… Pas ce soir.
Ce soir, la matrone est en fureur, essaye de garder son calme pendant qu’elle s’installe au volant de sa luxueuse berline allemande. Il faut dire que la chute de cette petite conne d’Ashley est arrivé au pire moment. Le bruit s’est entendu, le cri a su outrepasser la musique du spectacle. Et le spectateur, ayant causé la chute, s’est confondu en excuse, ayant réalisé qu’à trop écarter les jambes de son fauteuil, le croche-pattes a été fatal pour cette misérable Ashley en train de chouiner et gémir, installée sur le siège passager et se tenant un poignet endolori qu’elle dit ne plus bouger.
« Attache-toi, imbécile. Il ne manquerait plus qu’on se fasse arrêter par la pólice. T’as un bras valide, démerde-toi ! » Sa langue claque contre le palais d’une voix réprobatrice. Déjà qu’elle avait du mal avec cette mijaurée, il est clair qu’elle quittera bien vite les lieux dès lors qu’il sera possible de faire les choses en règle et sans s’attirer les foudres des services sociaux.
La blonde démarre et très vite, laisse son moteur rugir, les menant vers un endroit qu’elle affectionne plus que tout : l’hôpital. Il est certain qu’ils auraient pu appeler le secours mais le fait est qu’ils n’ont pas réussi à les avoir, qu’au vu du degré de la blessure et étant overbooké, l’ambulance n’arrivait pas avant trois heures, ce qui a été intolérable pour Dolores. Il lui a paru insupportable de devoir se supporter les larmes et la morve d’Ashley, ainsi que ses gémissements au sein même d’un Pandemonium comble. Elle s’est donc décidée à l’amener, roulant à vive allure pour vite la foutre dehors de son véhicule et se casser.
Sauf que… Ashley, c’est une gourgandine. Le genre de nanas au joli petit cul mais incapable d’écrire son prénom correctement. Arrivée devant l’hôpital, elle ne trouve mieux que de lui demander « Vous… Vous… Pouvez… Venir avec moi ? Je… J’ai… j’ai… la… trouille… des… hôpitaux… »Hoquète-t-elle entre deux reniflements répugnants.  « Et alors ?! J’suis pas ta mère, moi ! » Rétorque la reine des glaces en la fixant d’un air stupéfait, réalisant qu’elle a un sacré culot de demander une telle chose.
Pourtant… Deux secondes après, Dolores soupire, finit par détacher sa ceinture en ronchonnant et sort de son véhicule. Puis va ouvrir la portière côté passager pour qu’Ashley sorte, en tenue de scène – autrement dit ses attributs de femme cachés mais le reste qui respire l’air glacial de l’hiver – avec un simple manteau sur les épaules.
Elles sont prises rapidement en charge par une infirmière qui les installe dans une chambre des urgences tout en précisant que le médecin de garde va arriver.
Dolores, s’installe sur un fauteuil se trouvant dans la pièce, tout en dégainant son téléphone pour rassurer Gali pendant qu’Ashley continue de trembler et de renifler.
Et puis, le médecin arrive, salue l’assemblée pendant qu’elle relève un œil et se fige en voyant le nouveau venu. « Tiens… Tiens… » Lâche-t-elle d’une voix méprisante. « Vous n’avez pas été rayé de l’ordre des Médecins, vous ? »
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Sohan Abott

Sohan Abott


∴ Pseudo : midnight.
∴ Pronom irl : elle.
∴ Posts : 27
∴ Faceclaim : jessie hot williams
∴ Merci à : halamshiram
∴ Âge : trente cinq ans, fantôme bloqué hors du temps.
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∴ Pronom inrp : il.
∴ Occupation : chirurgien en traumatologie. t'erres dans les urgences jour et nuit.
∴ A Exeter depuis : depuis que t'es petit. après avoir été adopté, foutu dans un avion pour vivre ici.
∴ Statut : divorcé. le myocarde totalement calciné.
∴ Free land : dolores + love + duane + you?
∴ Triggers, refuse de jouer : inceste, violences animales, tous des trucs trop chelous pour les citer but you know.
∴ Warnings, va être amené.e à jouer : uc


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MessageSujet: Re: The fire rises [Sohan]   The fire rises [Sohan] EmptyMer 10 Fév - 16:49



@Dolores Sterling & @Sohan Abott
“First you see it, then you don't believe it
Then you're gonna be there to question why
Why am I the one who has to suffer, getting crucified
Circle of fate, we're getting colder and we're not going back
Now we're getting older, moving forward, we aren't giving up
I am your fucking savior
I am the fucking antichrist"


t'as pris ta garde relativement tôt ce soir. t'arrives pas à rester chez toi. à te tourner les pouces avec uniquement le silence comme compagnie. c'est comme ça depuis que toi et maija vous êtes séparés. t'enchaînes les heures au bloc comme aux urgences et tu rentres uniquement lorsque t'en es obligé. tu préfères les chambres de gardes, impersonnelles au possible pour te reposer. t'en viens même à préférer ces matelas pourris à tes draps attendant impatiemment d'être défaits. quand t'es en shift, t'as pas le temps d'y penser. t'as pas le temps de te laisser hanter par le passé. tu dois tout à la traumatologie. elle seule permet de te maintenir en vie. si on t'enlevait la médecine, il ne te resterait plus rien du tout. il est aux alentours de vingt-trois heures lorsque t'arrives à l'hôpital. tu passes par les urgences où tout semble aller pour le mieux. un coup d'œil au tableau des opérations à venir et tu gagnes les vestiaires des titulaires. aucun collègue pour t'emmerder. te demander comment tu vas, si t'as passé une bonne soirée. tu vas déjà devoir supporter tes internes toute la foutue nuitée... tu souffles. passe une main sur ta gueule à peine réveillée. tu dirais pas non à du café en intra-veineuse pour changer. t'ôtes tes fringues, enfiles ta blouse bleutée. ta veste blanche où se trouve ton nom brodé. le stéthoscope autour du cou et t'es paré. "b'soir." la porte s'ouvre et ton ex-femme apparaît. ses grands yeux tristes, ses cheveux roux... fait chier. t'as pas le temps pour ces conneries, t'as pas envie d'avoir à la supporter. "mhh." tu t'contentes de grogner. plus facile que de se lancer dans une énième dispute qui ne saurait se terminer. tu te barres comme un lâche faut l'avouer. c'est comme ça entre vous maintenant, vous vous y êtes fait. t'aurais pu déménager. te faire muter. mais tout ça t'aurait éloigné du peu qu'il te reste d'anna. c'est inconcevable pour toi.

"docteur abott? j'aurais besoin d'une consulte pour le box quatre. chute avec possible fracture du poignet vous pouvez y jeter un oeil?"  à peine de retour dans ton service qu'une infirmière te prend d'assaut. ils sont passés où vos étudiants sensés s'occuper des petits bobos? t'attrapes le dossier sans piper le moindre mot et entre dans la chambre sans frapper. bref regard aux informations qu'on t'a refilées et sans lever les yeux tu commences à te présenter. "mesdames, je suis le docteur abott. alors voyons voir ce que nous..." mais tu t'arrêtes dans ton élan lorsque tu te fais salement couper. tu pousses un soupir, déjà exaspéré. "tiens… tiens… vous n’avez pas été rayé de l’ordre des médecins, vous ?" et sinon pourquoi tu t'es pointé plus tôt au boulot déjà? tu pestes intérieurement, il ne manquait plus que ça. "désolé de vous l'apprendre madame sterling mais tout votre argent n'y suffirait pas." il doit faire moins vingt degrés dans la pièce vu la chaleur de vos tons respectifs. tu poses le dossier de la patiente, attrapes un tabouret et t'approches de la blessée. à moitié couverte, le maquillage coulant jusqu'au bout de son nez. un mouchoir semble être pour le moins approprié. t'attrapes une boîte non loin que tu lui tends avec un air compatissant. "elle est pas commode, je sais." que t'intimes à la demoiselle avec espoir de la voir ne serait-ce qu'esquisser un sourire. tu te retournes vers lady sterling et son air renfrogné. toujours aussi aimable de ce que tu peux constater. "bon et si vous m'expliquiez ce qu'il s'est passé? sauf si vous êtes là pour me faire un nouveau procès et me faire brûler sur la place publique?" t'arques un sourcil, sait-on jamais. venant d'une telle pointure tu ne saurais assez te méfier. amère, teigneuse à souhaits. tes mains viennent se placer de parts et d'autres sur le poignet tuméfié. l'hématome est déjà sorti, teintant la peau fine de violet. avec prudence, t'inclines la main de ta patiente dans un sens et son inverse. ça n'a pas l'air cassé mais tu vas demander quelques clichés pour t'en assurer. prudence est mère de sûreté à ce qu'il paraît. "je vais vous garder avec moi encore une heure ou deux le temps de vous faire passer une radio." ça aurait pu être pire, t'aurais pu devoir opérer directement sur l'os. là, ça aurait été de la traumato.
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