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 look what you made me do ☾ (marlowe)

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Delilah Ziegfeld

Delilah Ziegfeld


∴ Pseudo : laura
∴ Pronom irl : elle/she
∴ Posts : 64
∴ Faceclaim : dianna agron
∴ Merci à : #ethereal + #astra + #aftertheglow
∴ Âge : Il y a de cela trente-huit ans qu'elle déambule dans cette vie désastreuse. La rose anglaise se fane jour après jour, elle flétri entre les mains de son tyran.
look what you made me do ☾ (marlowe) Tumblr_naxjtzZ8c31rkmovwo5_250
∴ Pronom inrp : elle/she
∴ Occupation : Si il lui est impossible de trouver une once d'amour dans le regard de son mari, elle a espéré s'épanouir sous la clameur de spectateurs. Actrice, elle n'a toujours pas trouvé ce qu'elle cherche.
∴ Statut : mariée, enchaînée, torturée, si elle avait pu voir son mariage comme un accomplissement, elle a changé son regard sur la chose. Elle l'aime, certes. Mais, elle est consciente de n'être qu'une poussière sur la chaussure de son époux.
∴ Free land : marlowerexlouve ☾ bertolt (uc) ☾ ambrose
∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie, zoophilie et pour le reste, je suis ouverte à la discussion.
∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence conjugale, addiction, avortement, sexualité

∴ Présentation : make believe
∴ Liens : please reach my hand

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MessageSujet: look what you made me do ☾ (marlowe)   look what you made me do ☾ (marlowe) EmptySam 2 Jan - 18:20


(look what you made me do)
But I got smarter. I got harder in the nick of time. Honey, I rose up from the dead. I do it all the time. I got a list of names, and yours is in red, underlined. I check it once, then I check it twice, oh! Ooh, look what you made me do. I don't trust nobody and nobody trusts me. I'll be the actress starring in your bad dreams. song january 2021, Ziegfeld's Penthouse. @Marlowe Ziegfeld



(outfit)  Une journée encore bien remplie avait rythmé les pas de l'actrice. Un tournage qui ne se termine pas puisque des prises de nuit avaient été nécessaire. Alors, lorsqu'elle s'extirpe enfin de son lieu de travail, la soirée est déjà bien avancée lorsqu'elle retrouve le chemin de son logement. Les fesses vissées sur la banquette arrière du véhicule qui la ramène chez elle, elle décroche à peine un mot à son chauffeur et garde du corps. Ses prunelles rivées sur son téléphone portable, elle n'ose pas les diriger vers le rétroviseur. Parce qu'elle sait ce qu'elle va trouver dans cette réflexion. De la désapprobation, sans doute. Mais aussi, une lueur intense qui savait faire bondir son cœur, inexplicablement. Elle ne cessait de se scander silencieusement, qu'elle ne pouvait pas. Qu'elle n'avait pas le droit de le laisser un peu plus entrer dans son esprit, dans son palpitant. Mais étais-ce déjà trop tard ? Était-elle déjà trop embourbée dans un chaos sans nom ? Incapable de répondre à ces questions, elle préférait enfoncer sa tête dans le sable et ne pas affronter ce qui pouvait la secouer de toute part à la vue de son géant. Bien sûr, elle était la seule à se mettre des barrières. Parce que Marlowe n'avait aucune gêne quant au fait d'avoir d'autres conquêtes dans son lit. Elle aussi, elle pourrait aisément se perdre dans les draps d'amants, de chercher l'amour là où elle le pouvait, pour épancher la douleur de la trahison quotidienne. Elle pourrait, aussi, prendre la décision de se défaire de son mariage avec Marlowe. De tourner les talons sur ces dix-neuf années de mariage douloureuses. D'affronter les foudres de son époux pour pouvoir écrire une nouvelle page de son histoire sans une ombre menaçante au dessus de son épaule. Pour pouvoir retrouver son sourire sincère, disparu depuis trop de temps, maintenant. Elle avait la possibilité de mettre tout cela en action. Et pourtant, il y avait toujours cette petite voix dans un recoin de son esprit. Celle qui ne cessait de lui répéter d'être patiente, qu'elle avait lier sa vie avec celle du Ziegfeld pour le meilleur et pour le pire. Ce n'était pas la raison qui murmurait à son oreille, puisque ce n'était pas de l'amour à proprement parler qui unissait les deux âmes. De l'amour malsain, peut-être. De l'amour destructeur, peut-être.  Mais, pas un amour qui donnait envie de se réveiller aux côtés de l'autre, tous les matins. Pas un amour qui la poussait à lui demander comment s'était passé sa journée. Ces sentiments là, il l'avait poussé à verser plus de larmes que de sourire depuis qu'il lui avait passé la bague au doigt. Et, souvent, elle se demandait ce qu'elle avait bien pu faire pour s'attirer les sentiments négatifs de Marley à son égard. Comment avait-il pu changer de comportement en un claquement de doigt ? Entre le moment où ils n'étaient qu'un simple couple et celui où elle avait signé les papiers qui avait unit sa vie à la sienne. Elle, elle n'avait pas changé. Portant son amour pour lui comme une bannière flottant au vent, elle avait tenté de le ramener vers elle. Entreprise vaine, mots maudits qui avaient franchi les lèvres de l'homme d'affaire. Pendant des années, elle n'avait cessé de revenir, de faire des efforts. Pire encore, lorsqu'elle était tombée enceinte de Louve. Lueur d'espoir au bout du tunnel. Et pourtant, rien n'avait été suffisant. Alors, elle avait arrêté de tenter quoi que ce soit. Sans pour autant se défaire de ses émotions trop encombrantes. Elle prenait, simplement, ce qu'il voulait lui donner. Un moment partagé sur l'oreiller. Un faux sourire lors d'un gala de charité. Un baiser sans saveur lors d'un repas mondain. Lorsque la voiture se gare devant l'entrée de l'immeuble et que la porte s'ouvre pour qu'elle puisse descendre, son regard se perd une seconde sur les lumières qu'elle peut apercevoir depuis le Penthouse. « Bonne soirée. » Elle souffle à la va-vite en pénétrant à l'intérieur. Elle se force à ne pas regarder par dessus son épaule jusqu'à ce que la cage de l'ascenseur ne l'emporte au sommet. Lorsque les portes s'ouvrent, c'est une jeune femme dans une tenue plutôt courte qui lui fait face. Un sourire dans le vague, comme si elle se trouvait sur un nuage, elle l'ignore, comme si elle était transparente. Puis, leurs prunelles se croisent, alors que Delilah entre et la brune prends la sortie. Elle peut presque sentir l'odeur de son époux sur cette femme, la blonde. Son sang bouillonne et ses pensées se font orageuses. Elle pouvait prendre sur elle et subir bien des choses. Cependant, cette forme de trahison, elle lui restait en travers de la gorge. Ses talons claquent sur le carrelage, alors qu'elle se dirige vers la chambre qu'elle partage avec Marlowe. C'est sans surprise qu'elle le retrouve, entrain de reboutonner sa chemise à côté de leur lit défait.   « J'espère que tu as l'intention de changer les draps ? » Elle lâche en se délestant de son sac à main sur le siège faisant face à la coiffeuse. Elle croise les bras sur sa poitrine, ses yeux lançant des éclairs en direction de l'homme à l'origine de tous ses maux. « Je peux savoir pourquoi, j'ai besoin de subir la présence de tes traînées chez nous ? » Elle continue en s'avançant lentement, sans le lâcher du regard.


Dernière édition par Delilah Ziegfeld le Dim 10 Jan - 23:40, édité 1 fois
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Marlowe Ziegfeld

Marlowe Ziegfeld


∴ Pseudo : balzolaire.
∴ Pronom irl : any. ♡
∴ Posts : 210
∴ Faceclaim : tom hiddleston.
∴ Merci à : amor (a) prima luce (i)
∴ Âge : [quarante] coups d'éclat. le fil que tissent les parques devient de plus en plus fin. il sait, il sent que le ciseau d'atropos s'en approche chaque jour un peu plus. qu'importe. il continue de la regarder dans les yeux, insolent, supérieur.
look what you made me do ☾ (marlowe) 41786de4c95ab078bf864549a125e7cf
∴ Pronom inrp : il/lui.
∴ Occupation : il distribue l'opium du peuple d'une main, tire les ficelles de l'autre. [magnat des médias], tout-puissant, l'oeil qui surplombe tout. les journaux pour trancher la gorge de lucifer, la radio pour amollir l'ire de dieu, la télé pour crever les yeux des hommes.
∴ Statut : la poupée de papier qu'il a ramassée dans les abimes de la noblesse anglaise vous répondra qu'il est [marié]. marionette désarticulée et éventrée dont il a lui même percé les poignets, pour y passer ses fils d'or et d'argent.
∴ Place : ubiquité absolue.
∴ Vice : narcisse des temps modernes. la fêlure nécrosée du miroir déformant qui lui ankylose le coeur et l'âme.
∴ Free land :
EARTH GAPES, HELL BURNS, FIENDS ROAR, SAINT PRAY,
TO HAVE HIM SUDDENLY CONVEYED FROM HENCE.
CANCEL HIS BOND OF LIFE, DEAR GOD I PRAY,
THAT I MAY LIVE TO SAY, “THE DOG IS DEAD.”

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icare, delilah, ivy, rex, bertolt, ambrose
(à venir ; louve)

(playlist | moodboard)

∴ Triggers, refuse de jouer : ♡ maltraitance animale.
∴ Warnings, va être amené.e à jouer : ♡ classisme, manipulation, relation abusive, mention de pédophilie (passée).

∴ Présentation : ♡ sordid sinners & splendid sins.
∴ Liens : ♡ hell's black intelligencer.

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MessageSujet: Re: look what you made me do ☾ (marlowe)   look what you made me do ☾ (marlowe) EmptyMer 6 Jan - 23:50

delilah&marley / janvier 2021
i don't like your little games, don't like your tilted stage, the role you made me play — of the fool, no i don't like you. i don like your perfect crime, how you laugh when you lie ; you said the gun was mine — isn't cool. ( @taylor swift )

Rebecca. Elle s’était présentée dans un murmure ambré de luxure ; et lui de répondre : Daphné du Maurier elle-même n’aurait pas imaginé plus belle oeuvre. Si Marlowe ne peut résister aux muettes implorations des âmes, il sait aussi qu’aucune femme ne résiste à une référence littéraire de seconde zone. Jane Austen pour les conquérir et Shakespeare pour leur briser le coeur. C’est de cette façon, lui semble-t-il, qu’il a convaincu sa femme de lui tomber dans les bras.
Delilah.
Le tyran n’a aucune pensée pour elle lorsqu’il ramène son amante chez lui. Il n’a aucune pensée pour elle lorsque sa bouche s’écrase contre une gorge encore vierge de cicatrices. Il n’a aucune pensée pour elle lorsqu’il possède cet être inconnu. Une anonyme pour l’adultère, une anonyme qui disparaîtra dans la nuit. À la manière de toute la splendeur de leur mariage ; évaporée, occultée, comme si elle n’avait jamais existé. Une photo sur la commode ; leurs noces. Ils avaient l’air heureux. Delilah était splendide, dans sa robe de dentelle et d’espoir ; peut-être était-elle, à ce moment là, la plus belle femme du monde. Peut-être Marlowe l’avait-il pensé. Peut-être Rebecca le pense-t-elle alors qu’elle observe le cadre, en remettant son chemisier. Ta femme n’est pas là ? Non. Elle n’est pas là. Mais elle va revenir bientôt, certainement ? Pas qu’il sache. Pas de quoi se presser, nécessairement. Il se souvient l’avoir entendue parler d’un tournage de nuit ; mais il ne sait pas, peut-être ne sera-t-elle de retour qu’au petit matin. Marley ne s’inquiète pas des allées et venues de ce fantôme qu’il a épousé. Il n’est pas jaloux, parce qu’il sait (il pense) la tenir assez fermement ; Delilah, aller voir ailleurs ? Non. Impossible. Impensable.
Delilah le craint trop.
Delilah l’aime trop.
Ce paradoxe psychologique qui fait le malheur de sa femme, qui fait le bonheur de Marlowe. Douce poupée à martyriser, pour exorciser une douleur qui la dépasse ; elle est coupable de rien, Delilah, si ce n’est d’avoir été au mauvais endroits au mauvais moments, d’avoir aimé un simulacre de prince qui n’est en réalité que tyran. Innocente sans cesse mise à mort pour les crimes que d’autres ont commis. — C’est plus prudent que tu t’en ailles. Qu’il lui lance finalement, ses yeux s’embrumant déjà d’un voile d’indifférence. Elle ne l’intéresse plus. Déjà, il oublie son nom.
Emma ?
Sophia ?
J'espère que tu as l'intention de changer les draps ?
Delilah.
Ses mains se figent un instant. Il a à peine le temps de finir de reboutonner sa chemise ; mais les draps défaits et la jeune femme qui l’actrice vient de croiser ne laissent très certainement aucun doute sur les péchés qui ont été commis dans cette chambre. Alors qu’il lui tourne le dos, un rictus agacé vient plisser ses lèvres — il fallait donc qu’elle rentre à cette heure là. Il n’est pas à l’aise, Marlowe, parce que l’arrivée de sa femme ne lui laisse que peu de marge pour manoeuvrer. Elle l’a pris la main dans le sac ; il ne peut pas mentir, la manipuler, la faire douter, briser ses convictions. Il ne peut qu’attaquer. Frontalement. L’indifférence face aux affronts qu’il lui fait subir.
Chérie, je ne t’attendais pas si tôt. Lance-t-il alors qu’il fait volte-face, un sourire d’apparat étirant ses lèvres. Rictus d’autant plus cruel qu’il n’essaie plus d’être hypocrite ; Delilah connaît tous les masques de son mari. Elle sait qu’il n’est capable d’affection que par cynisme ; et même ses chérie sonnent plus faux que quelque immonde cacophonie. Quelle idée, aussi, de rentrer sans me prévenir !
L’air paternaliste, le ton accusateur. Des implications insolentes qu’il insinue à demi-mot. Si seulement tu restais loin de moi, tu n’aurais pas à subir ça.
(Ah)
Suis-je bête ?
Tu es folle de moi, Delilah
Tu m’aimes, et tu rentres à la maison chaque soir
En sachant très bien que tu risques de m’y voir aimer toute femme qui n’est pas toi.
Tu m’aimes, tu en redemandes
Qui est vraiment à blâmer dans l’histoire ?

Imputations muettes, répétées cent fois par ses yeux froids et incisifs, qui contrastent tant avec son sourire charmeur. Marlowe, ou le machiavélisme. Marlowe, ou la cruauté. Des sentiments amers, un coeur à la mer. Et toute la bête humaine qu’est cet être de passions et d’infamies, se rue, se heurte contre les accusations légitimes de Delilah. Pauvre folle qui a eu l’audace de l’aimer ; lui et ses yeux fous qui luisent, incandescents, au-delà de son sourire hypocrite. — Allons, cesse de faire l’enfant. Tu sais ce qu’ils disent tous ; tu es plus belle quand tu souris. Parce que tu n’as pas le droit d’être triste, Delilah. Tu n’as pas le droit d’être en colère, Delilah. Pense à tes rêves de cendres, pense à ton âme de fantôme — je pourrais t’annihiler toute entière d’un coup de poing, si je le voulais. Si ça peut te consoler, elle était terriblement fade par rapport à toi, darling. Un compliment pour l’anéantir. Un compliment contre l’abnégation.
(Oui je l’ai baisée.
Mais sans tes larmes ?
Elle n’était rien.
)

(c) mars+chrysalis
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