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 Speak of the devil [Edwin]

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AuteurMessage
Azraël Yildiz
L'ange de la mort

Azraël Yildiz


∴ Pseudo : Glacy
∴ Pronom irl : elle/she
∴ Posts : 711
∴ Faceclaim : Demet Ozdemir
∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature)
∴ Âge : 28 ans
∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort
∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil
∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥
∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter
∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia
∴ Free land : BarbieEdwinAlyonaBrice #1AleksArizonaAdèlePeterBrice #2CinaedMoiraLipVictorya


a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;

∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie ; zoophilie, nécrophilie
∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence ; uc

∴ Présentation : www
∴ Liens : www

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MessageSujet: Speak of the devil [Edwin]   Speak of the devil [Edwin] EmptyLun 16 Nov - 22:45


Speak of the devil
Azraël & Edwin (Azwin)

« You're here to counsel me? You want to save my soul? I'm telling you, girl, I sold mine. - To the devil?" - He was the only one buying, you know? »
Tic. Tac. Me demandant s'il pouvait sentir l'odeur de la mort autour de lui. Me demandant s'il pouvait entendre ce tic, tac nerveux résonnait dans un coin de sa tête. Me demandant s'il pouvait sentir son ventre se nouait. Me demandant s'il avait lu dans les feuilles de thé et observé les présages, vu celui de la destruction et de la ruine dans le ciel. Me demandant s'il avait en ce moment même ce frisson qui lui remontait le long de l'échine. Ce sentiment que quelque chose clochait. Le sentiment d'être observé. Les doigts qui commençaient à trembler. Ce tremblement qu'il tenterait de chasser sans résultat. Ce verre qu'il tenterait de saisir et qui manquerait de tomber sur le sol, se fracassant en milles éclats. Trop nerveux pour boire un verre. Me demandant s'il sentait ce poids sur ses épaules. Cette impression que les murs se resseraient, lentement, inexorablement tout autour de lui. L'impression de manquer d'air, que chaque bouffée d'oxygène devenait plus difficile que la précédente à prendre. Me demandant s'il ressentait l'élan de la peur à l'idée de ce rendez-vous. Peut être même était-il alors en train de faire les cents pas à côté de la roulette russe, des tables vides.

Ce casino qu'il avait voulu faire revivre. Ce casino qu'il a voulu rebâtir alors qu'il ne restait rien, si ce n'était des ruines devant lui. Ce casino qui risquait de tomber de nouveau en ruines en l'espace de quelques minutes. Il suffisait d'un lente geste de la main pousser la dernière pierre. Il suffisait avec douceur de souffler pour voir la dernière carte s'envolait. Chateau de cartes qui s'écroulait et un casino qui pourrait tout aussi partir en fumée. Il n'y avait là nul besoin de craquer une alumette pour y mettre le feu. Il n'y avait nul besoin de s'attarder, dissimilée dans le pénombre à regarder les flammes tout consummer sur leur passage. Hypnotisée par la scène. Il n'y avait nul besoin d'artifices ou de feux d'artifices alors que tout son futur reposait sur un nuage de fumée. Toute la structure de l'édifice reposant sur un seul homme. Comme Atlas enchaîné par les dieux, portant son fardeau pour l'éternité. Tout dépendant de sa faculté à rembourser la dette qu'il avait contracté. Et quelle erreur n'avait-il pas commis en empruntant auprès de ma famille.

Cette note de surprise en découvrant dans le courant semaine que notre débiteur n'est nul autre qu'Edwin Fury. Quasiment certaine qu'il ne se rappelait pas de moi. Mais me rappelant très bien de lui. Oh lui, le diable avait la mémoire longue et il était temps pour lui de payer sa dette. Sourire en coin, alors que là n'était pas seulement une dette à régler, un sac rempli de billets vert à déposer sur la table dans le délai imparti. Non, cette dette était plus personelle. Mais là était justement amusant alors qu'il importait pour la mort de distinguer les affaires personelles et celles profesionnelles. Pour la mort, peu importait la victime et son passé. Quand le fil était coupé, il n'y avait pas de retour en arrière. C'était un aller simple qu'il avait pris. Un aller simple vers les ténèbres. Une descente en enfer sans possibilité de retourner en arrière, de faire demi-tour ou de fuir en courant. Sans doute serait-il même préférable qu'il en vienne à se mettre à genou, et que la tâche en soit fini là. Une mort rapide. Une mort indolore. Presque. Car le jeu n'en vaudrait alors la chandelle. Oh sans aucun doute que j'aimerai le voir mort, je le savais au plus profond de moi, mais la partie serait alors conclue rapidement. Là n'était mon but. Voulant le faire souffrir. Ange de la mort. Ou ange vengeur.

Une certitude. Le goût de la vengeance en bouche alors que de nouveau, je franchissais le seuil du casino. Cette fois-ci, il n'y avait aucune note de musique qui résonnait en l'air. Il n'y avait aucune coupe de champagne à portée de main. Mais le champagne viendrait plus tard. Il suffisait de se montrer patiente. Et certainement prête à faire preuve de quelques minutes de plus de patience. Mais dans un premier lieu, je ne pouvais que me tourner vers le membre du personnel le plus proche qui s'était avancé dans ma direction pour m'accueillir. Sourire glacial. Ce ton qui rappelait la froideur de l'arme qui se trouvait près de moi. « Monsieur Fury m'attend. » Un commandement. M'étant fait attendre. Et n'ayant crainte. N'étant pas celui qui avait le pouvoir, bien qu'à cet instant il n'en n'avait sans doute pas encore conscience. Précédé de l'employé que j'en venais à suivre. La silhouette de ma prochaine victime en face de moi. Sourire en coin. Edwin. Hello my old friend.


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