∴ Pseudo : Glacy ∴ Pronom irl : elle/she ∴ Posts : 711 ∴ Faceclaim : Demet Ozdemir ∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature) ∴ Âge : 28 ans ∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort ∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil ∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥ ∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter ∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia ∴ Free land : Barbie ◊ Edwin ◊ Alyona ◊ Brice #1 ◊ Aleks ◊ Arizona ◊ Adèle ◊ Peter ◊Brice #2 ◊ Cinaed ◊ Moira ◊ Lip ◊ Victorya
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a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;
∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie ; zoophilie, nécrophilie ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence ; uc
« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
C'était de plus en plus difficile de prétendre. C'était de plus en plus difficile de tout séparer, de garder de distinctes frontières entre chaque partie de ma vie. Comme pressentir une guerre avec la mafia irlandaise. Il y avait des présages. Il y avait des signes. @Lip Berkeley qu'il fallait maîtriser. S'assurer qu'il ne ferait pas de connerie. @Cináed O'Reilly qu'il fallait réussir à cerner, à appâter. Se rapprocher de @Moira Fitzgerald sans flancher. Le défilé approchant qui était parfait. Une bonne cause. Ou le goût amer de la culpabilité. @Aleks Prestwich à surveiller. S'assurer que ce dernier n'en vienne pas à tout faire foirer. Un rappel de mon père. Lucifer qui voulait des explications. Des explications que je ne pouvais lui fournir entièrement. Me faufilant seule parmi les ombres dans la nuit obscure et le vent qui commençait à tourner. Le vent qui ne tournait pas en ma faveur alors qu'il était de plus en plus difficile d'être vigilant à chaque détail. Les policiers sur mes traces. Une balle enlevée mais la douleur physique toujours là malgré les anesthésiants, les médicaments pris. Des plaies de la couleur du ciel qu'il avait fallut faire disparaitre. Les tubes de fond de teint pas suffisant. Pouvant continuant de duper, jouer ce jeu de dupe, mais les lignes se croisaient et s'entrecroisaient. Le risque quand on appartenait à la mafia ou quand on marchait seule dans la nuit. Ecarter @Brice Standford de mes pensées. Une distraction. Ne pouvant me permettre d'être distraite. C'était déjà un peu trop tard. Trop de distractions. Le danger qui surgissait partout. Lucifer qui s'énervait un peu plus alors que les affaires n'allaient pas comme il le fallait. Ramo qui veillait dans l'ombre, s'assurant que je ne flanche. Pouvant compter sur lui. Mais ne pouvant mettre sa vie plus en danger que nécessaire. Zeynep qui était là, tentant de m'aider avec le défilé mais il y avait désormais cette rupture. Ce pont qu'il semblait presque impossible de pouvoir construire entre nous alors que la mafia ne pouvait s'expliquer. Appartenant désormais au système. Dansant avec les morts et ce rappel que si je lui avais échappé, je n'étais pas sortie d'affaire. Pouvant toujours perdre la tête. Pouvant toujours tomber dans le gouffre. Cette nécessité que j'avais d'être plus prudente. Me concentré sur le défilé et éviter qu'une guerre civile soit entamée. S'assurer que la sécurité serait parfaite parce que ce n'était pas seulement des êtres intéressés par la mode qui seraient là mais des hommes et femmes qui détenaient le pouvoir entre leurs mains. Des gros bonnets. Des barons. Des leaders. Des bras droit au sein des mafias. Des patrons de bordel. Un cocktail explosif que Lucifer en personne voyait d'un mauvais oeil alors que tout ce que ce dernier craignait c'était que les irlandais en vienne à le tuer. Sans se douter qu'il n'avait été sauvé à temps que parce que j'avais été là. Des secrets. Des non dits et personne à qui se confier. Le fardeau sur mes épaules qui se faisaient plus lourd. Un choix que j'avais fait.
Et désormais une nouvelle joueuse qui entrait dans la partie. S'ajoutant Vic. Une requête que je ne pouvais refuser. Une disparition soudaine de la demeure une nouvelle fois. Des explications que je devrais plus tard. La nécessité de se justifier encore et encore au risque si les explications ne convenaient pas d'être enfermée dans cette tour de cristal. Cette personne que j'étais devenue qu'ils ne réussissaient plus à comprendre, à cerner. Ne pouvant le réussir à moi-même alors ils n'avaient pour ainsi dire aucune chance. Souffle repris alors que je m'étais néanmoins hâtée en direction de la villa. Comment refuser de garder ce petit garçon qui n'avait rien demandé ? Semblant impossible de le refuser de le garder. Ayant promis à ce petit enfant d'être toujours pour lui. Haut de ces trois pommes. Petit garçonnet de cinq ans que j'adorais couvrir de cadeaux. Et ayant bien débarqué avec un nouveau cadeau ou plutôt une peluche énorme en forme de renard, taille xxl. Habillée plus naturellement, un peu comme l'ancienne Azraël. Un tee-shirt. Un short en jean. Quelques tresses. Naturelle et le sourire qui semblait venir trop peu sur mon visage désormais, qui était là splendide. « AZRA !!! » La petite voix du garçonnet alors que mon visage était dissimilé par le renard. Un renard trop rapidement abandonné sur le coté alors que je l'attrapais entre mes bras pour le faire voltiger dans les airs. Innocent. Si innocent et n'ayant idée du fardeau qui se trouverait un jour sur ses épaules. Le reposant avant de le serrer entre mes bras puis de lui offrir cette nouvelle peluche qui s'ajouterait à sa collection. Pas tout à fait une tante. Pas tout à fait une grande soeur. Entre les deux. Et un petit garçon auprès duquel je ne pouvais tarder à rire aux éclats alors qu'il m'embarquait dans son monde à lui. Un monde merveilleux et bien plus coloré à comparaison du mien. Un monde dans lequel résonnait des notes de musique. Un monde et un petit garçon à protéger. A tout prix. Et un petit bonhomme désormais caché. Attendant que j'en vienne à le trouver. « 9. 10. J'arrive ! » M'élançant à sa poursuite, presque déjà certaine de le trouver tapi dans sa chambre, sous son lit. Une cachette surtout découverte alors que la tête du renard dépassait de sous le lit. « Je t'ai trouvé ! » Nul pleur. Simplement les éclats de rire. Et un petit garçon accompagné de son renard, désormais dénommé Rox, que je serrai fort entre mes bras. Un moment de bonheur. Peut être éphémère mais pendant l'espace d'un instant le reste du monde et les problèmes étaient oubliés que pour voir des étoiles dans les yeux du petit garçon.
Victorya Guarana
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
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La vie et la mort, l'un ne va pas sans l'autre. C'est ainsi que fonctionne l'existence. Néanmoins, la mort n'est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c'est mourir tous les jours. Moi, je vis ma vie, je ne laisse jamais la peur de la mort envahir mon cœur, et encore moins mes pensées. Si l'on passe ses journées à se demander lorsque l'échéance se produira, au lieu de vivre intensément le moment présent, on peut considérer que la mort nous a d'ores et déjà pris dans ses filets.
Nous sommes finis.
La vie est courte, et la mort est imprévisible. Cela va de soi. Et bien évidemment, nous ne pouvons pas prévoir lorsque l'on quittera ce monde, mais, toi, moi, nous, nous pouvons décider de nous réjouir quotidiennement d'êtres vivants, en profitant tout simplement et pleinement de ce que l'existence nous apporte. Il nous suffit de peu pour être heureux. En rayonnant de puissance, en propageant le bonheur autour de soi, tout particulièrement autour de mes enfants. Ils sont ma vie, ils sont mon oxygène. Si je propage tout l'amour que j'ai pour eux, jour après jour, lorsque ce jour arrivera, je pourrais partir en paix parce que je doute honnêtement qu'après tout ce que j'ai pu faire dans ma vie, toutes les méchancetés, les crimes, le mal que j'ai pu provoquer autour de moi, je doute que dieu m'accordait la miséricorde ... Alors oui, il me restait que ça, aimer infiniment mes enfants.
Malgré ce qui vient d'être dit, je suis loin d'être une mère parfaite ni une mère exemplaire. Constamment, je me remets souvent en question et bien sûr; je cherche à améliorer les choses. Je le fais encore à mon âge.
Exeter. Si vous êtes à la recherche de quiétude et de sécurité, Exeter est de loin, la ville à conseiller. Notamment en raison de leur criminalité. Moi qui cherchais une ville sûre pour mes enfants, je me demande vraiment parfois, ai-je fait le bon choix!!! Mais il faut dire aussi, que c'était mon mari, qui a décidé de faire de cet endroit notre ''cocon'' et j'ai de quoi douter de ces véritables raisons. Aussi vulgairement parlant, il n’en avait strictement rien à foutre de mettre notre famille en sécurité et à croire que la mort de notre fille, cela ne lui à pas suffit. Il n'a pas du tout retenu la leçon.
Du coup, nous revoilà au même stade, dans une spirale de violence. Mais contrairement à notre passée, quand nous étions encore à Jalisco, au Mexique... Mon but n'est pas de faire Exeter, un territoire acquis. Je préfère laisser les macaronis, les ivrognes d'irlandais ou encore bien, Chicanos, ou que sais-je encore, s’entre-tuer. Puis, à force de se faire la guerre entre eux, ils finiront un jour par disparaître. Alors, pourquoi me casser le cul alors qu'ils font eux-mêmes le travail à ma place?
Bref, je me préparais pour sortir ce soir. Il fallait que je règle deux trois petites choses assez personnelle, et de ce fait, je n'avais pas eu d'autre choix, que d'appeler Azraël pour me dépanner. La nounou malheureusement était souffrante, et c'était impossible pour elle de tenir mes enfants.
J'étais encore dans ma chambre à me préparer quand j'entendis les rires de mon fils et de la jeune demoiselle! Elle a dû certainement rentrer grâce à l'un des ''gardes" présents qui protégeait nos arrières. Il valait mieux pour nous qu'un bras armé soit constamment présent devant la maison.
Et c'est pour cela aussi que je ne pouvais pas inviter mon amant chez moi!!! C'était bien trop risqué alors oui, depuis plus de sept ans, on se donnait des rendez-vous cachés ou bien j'allais chez lui discrètement.. C'était le seul moyen pour qu'on puisse se voir...
Une fois prête, je me dirigeais de ce pas vers les bruits et là, je découvrais les deux monstres et ..... un renard .... J'ai horreur des renards. Avec tous les choix d'animaux qui existent sur terre, elle arrive encore à choisir l'animal que je hais le plus et que mes pneus adorent. Enfin, j'ai écrasé qu'un seul renard dans ma vie, et encore sans faire exprès, en plus ! Je ne l'avais pas vu !!! Que voulez-vous
« heureusement qu'il n'y avait pas plus grand !!! » soupirais-je voyant la taille de cette peluche. Le petit Leon se levait aussitôt, et courait vers moi! Voyant ma tenue, il se doutait bien que j'allais partir et qu'il allait rester avec la ravissante tata. "Il s'appelle Rox, maman..." Le renard était deux fois plus grand que lui et il essayait tant bien que mal de le prendre pour le montrer fièrement. "Il est magnifique mon bébé, j'espère que tu as dit merci à tata" magnifique, magnifique... Je l'écraserais bien aussi ce renard. "mais bien sûr maman, je lui ai même fait un gros câlin accompagné d'un gros bisou" Ce p'tit bout de chou était d'une gentillesse - que parfois même - je me demande bien de qui, il tenait ça. De Enzo, peut-être. Je lui donnais une petite bise sur son front, et je terminais: "tu restes sage avec tata, maman n'en a pas pour longtemps." Puis, je me retournais vers la demoiselle, et je pointais mon doigt sur son thorax "Toi, tu me suis ma belle." Sans attendre, je quittais déjà la pièce et je descendais les escaliers. "S'il se passe quoique ce soit, ou bien même, si tu as une envie soudaine de prendre la fuite, tu m'appelles, ok? " Ce genre de réflexion; ''Une envie soudaine de fuir'', c'était plutôt pour la charrier. "Et pas de mec, pas de fête, et pas d'alcool... Et surtout, on ne tue personne. " Et je disais cela avec un air très sérieux. J'avais encore du temps devant moi, alors je me permettais de me servir un petit verre de vin. Poser devant le plan de travail de la cuisine, mon regard croisait le sien, et d'un large sourire: "Hummm, ce regard !!!! Il y a une question qui te brule les lèvres, n'est-ce pas?"
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
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a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
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L'écho de pas. Tête que je relevais et des mots qui parvenaient à mes oreilles avant même que l'enfant ne se soit retourné pour accueillir sa maman avec sa peluche renard taille xxl. Son nouvel meilleur ami. « heureusement qu'il n'y avait pas plus grand !!! » Un sourire en coin qui se dessinait sur mon visage alors qu'au son de sa voix, elle paraissait simplement atterrée de voir cette peluche là. Une peluche en forme de renard qui prendrait bel et bien de la place que ce soit dans sa chambre ou dans la villa. Mais la demeure qui était aussi grande, permettant ainsi facilement d'accueillir un nouveau habitant. Un renard avec des yeux en amande qui apporterait un peu de chaleur au foyer. Tentant peut être de lui éviter par là la froideur et le silence, la solitude. Désormais il n'était pas seul, ils étaient deux sans compter ces autres amis imaginaires et autres jouets que j'avais apporté petit à petit au fil de mes visites. "Il est magnifique mon bébé, j'espère que tu as dit merci à tata" Levant les yeux au ciel en voyant l'expression da dernière arrivée dans la pièce alors que je m'étais retournée vers elle. Ne paraissant pas si enchanté par la présence du renard qu'elle ne le paraissait, bien qu'elle semblait faire de son mieux pour masquer son manque de contentement. La connaissant peut être désormais trop. Et une couche de confiture que je rajoutais sur la tartine alors que je reprenais la parole. "Il est vraiment trop mignon n'est-ce pas ?! 'J'ai bien fait de lui offrir tu ne penses pas ?!" M'adressant directement à la concernée et sachant aussi qu'elle ne pourrait aller que dans mon sens alors que le petit garçon était juste le plus heureux de la terre. Se rengorgeant alors que déjà il insistait, se montrant gentil. Un coeur en or. Simplement bon et innocent alors qu'en effet ces câlins semblaient être de mise, et de faire partie du deal.
Mais ce moment de tendresse qui prenait fin aussi trop rapidement à mon goût alors que la mère de famille avait d'autres plans en tête. Si j'avais pensé qu'elle était déjà partie, je m'étais trompée. Et de surcroit elle semblait avoir d'autres plans en tête. Convoquée par la reine en personne. "Toi, tu me suis ma belle." Dos tourné alors que déjà elle ressortait de la pièce et pour amuser le petit, je ne pouvais qu'esquisser une révérence dans le dos de la reine. Les cheveux bruns du garçonnet que j'ébourriffai au passage. "Tu veilles sur Rox, je vais aller voir ta maman." Prudence de mise alors qu'il était préférable de ne pas faire attendre la reine de la maison. La rejoignant en bas de l'escalier. "S'il se passe quoique ce soit, ou bien même, si tu as une envie soudaine de prendre la fuite, tu m'appelles, ok? " Toujours ces mêmes recommandations. Pire qu'une mère poule. Surprotectrice certainement. "Promis je t'appelerai." Reprenant mon souffle alors que je relevais la tête pour la regarder se servir un verre de vin. "Et puis c'est pas vraiment comme si j'étais en cavale..." N'ayant pas re fugué. Etant au contraire revenue dans le monde des vivants, parmi le commun des mortels. Ce dont je ne l'avais pas informé officiellement. Mais BB avait été là pour prévenir le commun des mortels du retour de l'héritière et n'ayant aucun doute qu'elle était au courant que j'avais réapparu. Ne sachant peut être pas encore que j'étais désormais affiliée officiellement à la mafia turque mais ce qui ne serait peut être pour tarder. Cette préférence, celle de rester évasive pour le moment. Ne pas trop en dire. Peut être aussi parce que je n'étais pour parler affaire, mais seulement là pour le petit. Des histoires de grand qui pouvaient être discutées un autre jour.
"Et pas de mec, pas de fête, et pas d'alcool... Et surtout, on ne tue personne. " L'image de la mère qui ordonnerait à la grande soeur, chargée de babysitter le petit frère d'être sage. Des mots qui étaient particulièrement amusants alors qu'elle ne m'avait pas vu ici faire la fête ou venir avec qui que ce soit. Louve solitaire presque trop sage. Des notes de sarcasme alors que je répliquais au tac à tac alors qu'elle n'était qu'un peu plus sérieuse. Trop sérieuse. "Je voudrai pas tâcher la moquette." Meurtre qu'elle savait que je ne commettrai pas. Encore moins dans les yeux du petit à moins que certains ne viennent pour lui. Alors là, cela serait certainement une autre paire de manches. Mais pour le moment, il n'y avait nulle menace qui ne planait sur le petit si ce n'était une mère trop anxieuse. Ne voulant pas que j'invite d'hommes ici, mais paraissant compliqué que je puisse en inviter un seul alors que j'étais célibataire. Libre comme l'air. Un coeur à prendre. Et un arrière-goût amer en bouche. "Qui voudrais-tu que j'invite ... ?" Comme ayant oublié qu'elle n'était pas encore au courant de ma peine de coeur, ou plutôt que cette histoire d'amour était partie en fumée. Des pages brûlées. Croyant que j'avais fui par amour. Et l'explication officielle de celle pour laquelle j'étais revenue à la civilisation, cette rupture. Une explication pour en cacher une autre. Une explication dont elle n'était pas au courant alors que je ne l'avais vu depuis un moment, que j'étais simplement revenue à la vie en quelque sorte. Etant simplement réapparue en ville et auprès de la mafia sans l'en informer. Mais l'ayant aussi peu informé de ma fugue. Agissant par impulsion et de longues explications que je préférerai éviter. "Tu n'étais pas censée être déjà partie ?!" Toujours ce même ton, un peu narquois. Comme une jeune fille un peu trop insolente envers une figure trop maternelle. Mère biologique qu'elle n'était pas, bien que s'en rapprochant parfois un peu trop. Au lieu de cela, me dirigeant vers les placards les plus proches pour me préparer du thé. Déclinant un peu plus le vin sorti alors que déjà elle reprenait la parole, toujours aussi vive. "Hummm, ce regard !!!! Il y a une question qui te brule les lèvres, n'est-ce pas?" Etincelle dans mon regard alors que je lui répondais aussitôt. "Est-ce que tu vas le retrouver ?" La fameuse question. Celle que je lui posais quasiment à chaque fois pour m'assurer de ses réels raisons. Tentant de savoir si cette fois-ci elle partait à un rendez-vous d'affaire ou si elle allait retrouver une nouvelle fois son amant, dans le plus grand secret. Curieuse. Et ne perdant à rien demander, pouvant simplement ensuite m'amuser à deviner ce qu'elle pensait réellement au regard de ses expressions. Toute information qui était bonne à prendre.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
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"Il est vraiment trop mignon n'est-ce pas ?! 'J'ai bien fait de lui offrir tu ne penses pas ?!" Que j'apprécie ou non, les renards, en tant que mère aimante, je ne pouvais pas dire le contraire. Elle a bien fait de l'offrir surtout qu'en ce moment, la tension dans la maison était assez tendue et puis je pouvais apercevoir dans le regard de mon petit garçon adoré qu'il était émerveillé par ce geste, et cette énorme peluche. Alors, d'un léger sourire et sous un don tout particulièrement doux, j'ajoutais : « Bien-sur »
En ce moment, comme je disais, c'était assez délicat. Entre mes disputes avec Enzo, et mon mari ... – parfois – je n'avais qu'une seule envie, c'était de prendre mes deux enfants et de partir ; aussi loin que je pouvais.
Partir loin de tout, faire le vide autour de soi, s’évader, rêver un peu… Qui n'a jamais souhaité recommencer une vie, et peut-être même, être meilleur. Avoir une meilleure version de soi.
Mais, je sais éperdument que peu importe la route que j’emprunterais, aussi longue qu'elle soit, je me ferais toujours rattraper.
Nous devons apprendre à oublier la douleur, ignorer les regrets et continuer à avancer même si, tu sais que ce n'est pas le meilleur choix !
En ce moment, j'avais tellement l'impression que chaque décision que je prenais, je prenais toujours la mauvaise et en essayant de faire le bien, je causais bien plus de tort... Tout particulièrement avec Enzo.
Alors que nous avons quitté la chambre de mon enfant, nous nous sommes rendus jusqu'à la cuisine en bas. Comme d'habitude, aussi autoritaire que j'étais, je commençais à lui dicter quelques règles à éviter.
« Surtout que la moquette est neuve, alors qu'il te plait, je suis on ne peut plus sérieuse!»
De plus, je ne voulais pas régler des comptes avec mon époux. Il allait se demander ce qu'elle foutait ici, et où j'étais - et ça, voyez-vous, je voulais éviter.
Ne sachant pas encore qu'elle avait rompu avec l'homme de sa "vie", je me permettais de répliquer aussi méchamment.
« Avec l'homme qui te sert de petit ami»
Je ne préférais pas prononcer son nom et puis, en toute franchise, je ne le portais pas dans mon cœur … ET ça, elle le savait tout autant. Il avait bien foutu sa merde ce con, et à cause de lui, du moins, pour ma part, il était responsable de tout ça!!! Du fait, qu'elle a du faire un choix !!! Entre fuir, ou rester...
Néanmoins, j'étais mal placé pour porter un jugement sur le véritable amour !!! Moi, qui trompe pour mari depuis plus de 7 ans, et qu'en plus de cela, j'ai fait un enfant avec mon amant ... Le mieux, c'était de fermer ma gueule !!!
Et non, je n'étais pas encore partie pour la simple et bonne raison que ... j'hésitais... Je voulais le voir, mais d'un autre côté, je ne voulais pas !!! Entre moi et enzo, c'était tout aussi tendu.
« Pourquoi ma présence te gêne? »
Au fond, je me voilais littéralement la face et ce regard qu'elle portait sur moi, répondait à mes craintes. Elle devait être au courant, mais depuis combien de temps? J'ai essayé tant bien que mal de cacher ma liaison, mais au bout de 7 ans, il fallait bien qu'un jour cela arrive. ET mon plus grand des fils m'avait surprise et je crois bien qu'il n'a pas su ce taire... !!!!
Je baissais le regard timidement, et du bout de mon doigt, je contournais le contour de mon verre
« oui » Murmurais-je. « Mais ... ce n'est pas ce que tu crois!! Je .... Disons que lui et moi, c'est compliqué. » Je faisais le tour de la table de travail pour me positionner face à la belle Azra et je la fixais plongeant mes yeux dans les siens « Santiago est mon fils, et je l'aime malgré qu'il ne sait pas garder un secret, mais toi, si jamais, tu parles à qui ce soit, de ce que tu sais, à qui compte, peu importe, même à ton chien, je ferai de toi un martyr!! » Délicatement, pour lui prouver de toute même que je tenais à elle, je posais ma main sur sa joue « as-tu bien compris!? Alors, s'il te plait, je te supplie, ne me force pas à faire de toi mon ennemie. » Je posais une bise sur sa joue, et contre son oreille, je finissais par dire :« Je tiens à toi, et cela me brisera le coeur!!!»
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
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a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;
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« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
Un règlement de compte ou simple une répétition de nouvelles règles. « Surtout que la moquette est neuve, alors qu'il te plait, je suis on ne peut plus sérieuse! » Toujours aussi amusant, alors que là était les remarques de ceux qui avaient les fortunes pour tapisser leurs demeures de moquette. N'étant pas sans intermittence à me rappeler mes chers paternels. « Avec l'homme qui te sert de petit ami » Sourire en coin qui disparaissait. Les traits de son visage qui se fermaient. Un masque apposé. Froideur. « Il n'est plus mon petit-ami. » Que consciente que cette nouvelle ne paraissait que la ravir et une pente glissante sur laquelle elle risquait de s'aventurer en continuant dans cette direction. Mais si elle pouvait prendre le risque de s'aventurer sur une pente glissante, je faisais de même en pensant aux raisons de son absence et plutôt à son amant. Un sujet délicat.
« Pourquoi ma présence te gêne? » « Je pensais que tu étais trop occupée pour te soucier de moi ? Après tout, tu m'as appelé pour jouer les babysitteurs. » Une nouvelle petite pique. Sa présence qui ne me gênait pas mais la mienne qui paraissait me gêner, bien que j'avais aussi conscience que c'était pour une raison précise qu'elle m'avait fait venir. Comme quasiment à chaque fois. Peut être une pointe de rancoeur ou d'amertume en bouche, le sentiment d'être usé. Le sentiment d'être prisonnière de ces liens, de cette vie. Les murs qui se refermaient. Ce poids dans la poitrine. Cet air qui devenait moins respirable. Et le soudain désir de tout envoyer valser, de fuir sans se retourner. De fuir pour laisser le passé derrière. Impulsivité. Coup de tête sur lequel j'agissais, comme à chaque fois. Pensant parfois trop peu. Simplement entrant en action, fonçant dans le tas. Appuyant sur la détente. Passant d'une émotion à l'autre. Comme un ras de marée. Les vagues qui me submergaient avant de se retirer, me laissant vide. Cette solitude parfois exerbérée. Entourée mais ce sentiment d'être seul à la fin de la journée. Une sensation sans doute plus pesante depuis que justement j'avais rompu. Il n'y avait personne pour me rattraper, simplement le vide.
Mon regard posé sur elle alors que je ne la quittais pas, curieuse et désireuse de savoir. « oui » Une confirmation. Ayant au moins le mérite d'être honnête. « Mais ... ce n'est pas ce que tu crois!! Je .... Disons que lui et moi, c'est compliqué. » « Tu vas le revoir juste pour t'amuser alors ? » Une situation qui était d'ores et déjà compliquée. « Est-ce qu'il sait la vérité ? » De nouvelles questions et sans que consciente que là n'était que le début de cette longue et interminable série de questions. La regardant alors qu'elle se rapprochait. Cette lueur prédactrice dans son regard. Un regard foudroyant. Un regard à vous glacer le sang. Un regard qui aurait sans doute pu me paralyser des années plutôt lorsque j'étais encore à la recherche de ma voie, lorsqu'elle m'avait aidé à propulser ma carrière. Mais la situation qui avait changé. N'ayant pas été effrayée par elle lorsqu'elle je l'avais revue pour la première fois, là où elle aurait pu s'énerver parce que j'avais rompu le contrat. Et je n'étais toujours pas effrayée. « Santiago est mon fils, et je l'aime malgré qu'il ne sait pas garder un secret, mais toi, si jamais, tu parles à qui ce soit, de ce que tu sais, à qui compte, peu importe, même à ton chien, je ferai de toi un martyr!! » Des menaces. Un chien que je ne possédais pas. Immobile alors que le diable chuchotait à mon oreille. « as-tu bien compris!? Alors, s'il te plait, je te supplie, ne me force pas à faire de toi mon ennemie. » Une menace sous-entendu alors qu'il suffisait d'un mot de ma part pour que son secret, pour que leur secret tombe entre les mains de mon père et de la mafia turque. Il suffisait d'un mot pour que son enfant devienne un pion dans une guerre de territoire. Son identité qui pouvait valoir de l'or, comme l'identité de la fille de la mafia irlandaise. Des enfants qui devenaient des pions et des jouets entre les mains des puissants. Des héritiers qui représentaient une faiblesse, un point de vulnérabilité à employer, un moyen de chantage. Le vent qui tournait. Les cartes qui pouvaient toujours être redistribuées à tout moment. Ce qui risquait de se passer si la vérité était révélée sans compter que son mari n'avait certainement pas conscience de sa liaison, une liaison qu'il était certain qu'elle préférait garder secrète. « Je tiens à toi, et cela me brisera le coeur!!! » Consciente que là était aussi la vérité, que malgré l'affection porté, elle n'hésiterait pas à mettre sa menace à exécution. Pivotant sur mes talons. Regard qui rencontrait le sien. Peut être des mots qui résonnaient aussi froidement que les siens. « Cela tombe bien que je ne suis pas ta fille alors. » Sourire glacé. « Ne me fait pas devenir ton ennemie. » Ne l'étant pas. Et n'ayant pas de raison de le devenir à moins qu'elle me donnait des raisons. « Tu es imprudente. » Un ton qui sonnait comme des reproches. Ce qui était le cas. Elle l'était. « Et de nous deux, tu es la seule qui le met en danger. » Ayant toujours fait attention. « Une guerre approche que tu ne le veuilles ou pas. » Ce qui était la vérité alors que les tensions entre la mafia turque et la mafia irlandaise ne pouvaient que s'accroître, avec la renaissance de la mafia russe. Certaine qu'une guerre était proche. Certaine que ce n'était qu'une question de temps. « Et si tu ne trouves pas une solution, à un moment l'autre, il sera blessé ou tué. » Des mots cruels. Mais une réalité à laquelle chacun d'entre nous s'exposait. « Même en le défendant aussi férocement qu'une lionne, tu ne pourra lui éviter d'être pris entre des tirs croisés ou devenir une cible si ton secret est dévoilé... Sans une armée à tes côtés... » Sans alliés sur lesquels s'appuyait, elle s'exposait à un danger plus grand. Ce qui risquait de se passer s'ils se retournaient contre elle en apprenant la vérité. Marcher seul pouvait avoir ses avantages, ne dépendant de personne mais les risques étaient plus grands. En ayant conscience. Ce que je faisais. Si je savais que la mafia sera là pour me défendre, que Lucifer en personne enverrait une armée pour protéger sa princesse chérie, si Ramo viendrait à mon secour sans hésiter, à la fin de la journée, au coeur de la nuit, c'était seule que j'avançais. Une confiance qui avait ses limites. « Mais ne t'inquiète pas ton secret est bien gardé. Après tout, si je le voulais le dévoiler, je l'aurai fait bien plutôt. » Peut être pas tout à fait une promesse mais une affirmation. Un garçonnet que je ne voulais voir pris dans une guerre sans queue ni tête. Ne le voulant voir pris entre les rouages de la mafia où il n'y aurait que douleur et peine principalement. Mais ne faisant pas confiance à Victorya. Ce qui était peut être la vérité alors qu'à cet instant, elle était mes yeux son ennemi. Celle qui mettait son fils en danger en voyant son amant, en jouant avec le feu, auprès de son mari, avec le pouvoir. A un moment ou l'autre, cela ne pourrait que mal finir.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
« Il n'est plus mon petit-ami. » Humm! J'espère qu'elle lui a collé une balle entre les deux yeux! La rupture nous révèle la force de l’amour ainsi que notre propre capacité à surmonter cette douce épreuve ou bien, cette douloureuse atteinte.
Au premier abord, elle ne semblait pas abattue, ni même triste, mais ça voyez-vous, en tant que femme, ou bien plus encore, en tant que femme d'affaires qui règne dans un monde d'homme, de violence rempli de fureur, et de sévices, elle savait autant que moi, qu'il ne faut jamais montrer ses sentiments... Même si cela nous fait mal, terriblement mal, à tel point que ton cœur est meurtri, il ne faut – en aucun cas – se mettre à genoux.
Garde la tête haute et montre que tu es bien plus forte que n'importe quelle putain de macho sur terre ...
Cependant, la rupture est-elle un échec ou une possibilité de nous révéler à nous-mêmes ? En a-t-elle retenu des leçons? Elle, qui était prête à tourner les dos à sa propre famille, à son propre destin tout ça pour s'accoupler avec un homme – qui véritablement – était le roi des idiots, mais dans un sens, peut-être que c'était mieux comme cela ? L'amour rend faible, et elle avait encore un tas de choses à apprendre de la vie, de cette voie qu'elle a décidé de suivre !
«Sans vouloir t'offenser, c'est peut-être mieux comme ça!! » Maintenant, elle était libre, et elle n'avait plus aucune barrière devant elle !!! A sa place, je me concentrais davantage à la mafia, qu'à une bête aventure qui l'amène manifestement à l'échec. « je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais que s'est-il passé ? Tu semblais pourtant ... amoureuse.... » Pour quitter sa vie, et fuir avec lui, je ne voyais pas d'autres termes que l'amour. « Et détrompe-toi, je me soucie souvent de toi !!! »
C'est vrai que parfois, j'avais une drôle de manière d'exprimer ma considération, mon affection aux personnes que j'apprécie, mais derrière cette facette, j'étais humaine. Je tenais à elle même si, je venais littéralement de la menacer.
D'ailleurs, la suite de ses mots me crispait. Tant qu'elle y est qu'elle dise carrément que je pars me faire déglinguer un bon coup...
Je la regardais droit dans les yeux. À mon ample avis, elle était bien trop curieuse, et j’admets que j'hésitais à lui parler, à lui divulguer plus d'informations sur cet homme.
«hééé, je ne suis pas une putain ok ? ... Je ne vais le voir juste pour me faire sauter, voyons !! Tu me prends qui ? »
Bon, c'est le but d'avoir un amant, allez-vous me dire, mais Enzo et moi, c'était profondément différent. Nous avons dépassé ce stade ''amant", et honnêtement, je le voyais bien plus qu'un simple flirt.
« Quelle vérité ? Si tu me parles de Rodrigo, il ne doit jamais avoir, m'as-tu bien comprise ? Et puis, tu crois que c'est récent ? Je couche avec lui bien avant que toi et moi on se connaisse, alors je pense bien gérer la situation »
cela faisait plus de sept ans désormais que j'entretenais une relation extraconjugale, et aussi dingue que cela puisse paraître, personne ne se doutait de quoique ce soit. Enzo et moi, on a toujours pris nos précautions en ce qui concerne la discrétion.
Je lui affichais un léger sourire. Elle s'inquiétait pour mon amant ? C'était presque trop mignon.
«Il n'a pas besoin de moi pour se défendre, il le fait bien tout seul !!! »
Cela dit, elle m'intriguait. Savait-elle qui était mon amant ? Savait-elle qu'il faisait parti de la mafia italienne, et qu'il était en plus de cela, le pire ennemi de mon époux et à la fois, du Cartel mexicain. Oui, je sais. Je me suis mise dans une sacrée merde....
Je m'écartais d'elle, et de nouveau, je faisais le tour de la table travail pour y récupérer le fond de mon verre. Je n’allais tout de même pas gaspiller ce délicieux vin rouge !!!
« Pourtant, combien de fois, t'ai-je dit ce diction ''Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis''
Je déposais mon verre, et toujours en gardant ce petit sourire diaboliquement mauvais, j'essayais de paraître totalement indifférence face à cette situation alors que, chaque jour, je craignais de le perdre.
Oui. J'avais peur pour nous deux, et notamment Leon.
«Et en ce qui concerne, ta fameuse guerre qui approche à grands pas, ce n'est pas mes affaires !!! Alors pourquoi devrais-je m'en soucier? »
Du moins, pour le moment... Déjà, je n'avais aucune crainte à me faire face, à la mafia turque, et aussi à la mafia italienne, vu que j'écartais les cuisses pour l'adorable parrain - d'où la phrase soit encore plus proche de tes ennemis. Comme quoi, on pourrait croire que tout ça n'est qu'une manigance, et pourtant, j'en étais réellement amoureuse de cet homme ! Mais il fallait que je fasse croire le contraire.
En toute franchise, je préférais jouer la carte de la stratégie. On pourrait croire que je battais à la retraite, et que tout ceci n'était qu'une vaste plaisanterie, mais, à vrai dire, cette guerre, comme elle traumatisait l'affaire, je tenais à l’œil tout ça... au loin.
Et contrairement, à ce qu'on pourrait croire ; j'attendais... J'attendais mon heure pour contre-attaque. Ici, à vrai dire, je laissais les pions s’entre-tuer. Pourquoi m'en mêler et risquer de me faire tuer, ou de tuer un membre du cartel, si déjà entre eux, entre mafias, ils se faisaient déjà la guerre. Dans une guerre, il n'y a qu'un seul survivant, et c'est là qu'il faut donner le coup ultime !!!
J'ai conscience que ce n'était pas les réponses qu'elle attendait, et que j'étais vaste dans mes propres, mais cela valait mieux!!! Moins, elle sait, mieux sait. De cette manière, je protégeais tout aussi bien, Enzo, moi, elle... et leon.
Soudain, alors que nous étions en pleine conversation, le petit Leon, le fils de Enzo, le parrain de la mafia italienne qui gérait l'ensemble du Royaume-Uni, fit son apparition. Plus, il grandissait, plus, il lui ressemblait et je sais qu'un jour, je ne pourrais plus le cacher à mon entourage.
"MAMAN, tu n'es pas encore partie"
Oui, ce petit bout de chou avait du sang italien qui coulait dans ses veines... C'est peut-être cela aussi, qui justifiait le pourquoi il adorait tant les pâtes, et surtout ma lasagne.
"Je peux avoir un verre de lait, s'il te plait!!!" Je passais ma main dans sa chevelure tout en lui répondant d'une façon totalement différente. Après, je me voyais mal lui répondre de manière plus sèche comme je faisais la plupart du temps. Il était la prunelle de mes yeux, et je ferais n'importe quoi pour lui !!! Tout comme pour mon autre fils, Alvaro.
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
∴ Pseudo : Glacy ∴ Pronom irl : elle/she ∴ Posts : 711 ∴ Faceclaim : Demet Ozdemir ∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature) ∴ Âge : 28 ans ∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort ∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil ∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥ ∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter ∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia ∴ Free land : Barbie ◊ Edwin ◊ Alyona ◊ Brice #1 ◊ Aleks ◊ Arizona ◊ Adèle ◊ Peter ◊Brice #2 ◊ Cinaed ◊ Moira ◊ Lip ◊ Victorya
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a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;
∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie ; zoophilie, nécrophilie ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence ; uc
« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
Un sujet plus délicat. « Sans vouloir t'offenser, c'est peut-être mieux comme ça!! » N'en n'étant pas encore certain. La douleur qui revenait. Les moments passés qu'il était difficile d'oublier. Comme tenter de conjurer un mauvais sort. « je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais que s'est-il passé ? Tu semblais pourtant ... amoureuse.... » « Je l'étais. » N'étant pas tombée amoureuse tout de suite comme elle pouvait croire, mais étant tombée bel et bien dans ses bras. Ayant eu le sentiment que tout était possible. Ayant cru être heureuse. L'ayant été mais ayant peut être commis l'erreur de croire que cet amour était indestructible. Tout qui pouvait être détruit. « Et j'ai cru qu'on pourrait déplacer des montagnes, que rien ne serait impossible mais je m'étais visiblement trompée. » Ce qui était plus douloureux de croire et de se rendre compte que tout n'était qu'illusion. La douleur qui ne s'effaçait pas. La douleur qui ne partait pas. Des détails dans lesquels je ne voulais pas entrer, ces derniers mots auquel je ne voulais repenser. Ne voulant me retourner et jeter un coup d'oeil vers le passé, mais les faits qui rendaient désormais encore plus difficile la simple idée de faire confiance. « Et détrompe-toi, je me soucie souvent de toi !!! » Haussement d'épaules comme si cela n'importait pas ou comme si je n'y croyais qu'à moitié; Ce qui était peut être aussi le cas.
Des hostilités lancées. «hééé, je ne suis pas une putain ok ? ... Je ne vais le voir juste pour me faire sauter, voyons !! Tu me prends qui ? » « alors quoi ? tu l'aimes et il t'aime ? » Mon regard qui se portait sur elle alors qu'elle s'hérissait. « des années que tu lui courres après, et il ne s'est toujours rien passé, vous en êtes toujours à en voir en secret ? tu vas me dire que c'est vraiment ce que tu veux ? » des années ou certainement plus de cinq ans qu'elle le retrouvait, filant en douce pour voir son amant, dans le plus grand des secrets. Obligée de se dissimilée pour ne pas être vu par son amant. Me demandant si c'était vraiment ce qu'elle voulait, si c'était vraiment sa définition de l'amour, de la famille. Un garçon qui ne connaissait pas son père, qui ne connaitrait peut être jamais son identité. Elle qui se contentait de le retrouver sans pour autant pouvoir être avec lui, vraiment, sans pouvoir se balader dans la rue à ses côtés, main dans la main. Me demandant si c'était vraiment ce à quoi elle espérait, si elle allait juste continuer de faire cela encore pendant des années au risque que son mari la surprenne. Ne serait-il pas plus simple de tout avouer ? de cesser de se cacher ? Est-ce que cela en valait vraiment la peine ? Et que curieuse en effet de savoir si elle l'aimait vraiment alors que la définition de l'amour n'était certainement pas la même à notre yeux. Ayant eu tendance à voir l'amour comme quelque chose de merveilleux, le croyant toujours mais ayant peur de voir mon coeur se briser en deux de nouveau. Déçue. Alors je ne pouvais m'empêcher de la questionner. « Quelle vérité ? Si tu me parles de Rodrigo, il ne doit jamais avoir, m'as-tu bien comprise ? Et puis, tu crois que c'est récent ? Je couche avec lui bien avant que toi et moi on se connaisse, alors je pense bien gérer la situation » « J'ai déjà compris que ce n'était pas récent et qu'il ne devait pas savoir. » Les indices qui étaient là. A un moment il avait juste fallut assembler les pièces du puzzle. N'étant ni stupide, ni naïve. « Si j'ai pu comprendre alors un autre le pourra aussi. »
« Pourtant, combien de fois, t'ai-je dit ce diction ''Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis'. « Cela a toujours été un très bon dicton. » Un dicton que je tentais d'appliquer à ma manière alors que de mes ennemis je me reprochais, en recherchant leur faiblesse comme d'un certain irlandais et irlandaise. Une tâche lente et périlleuse alors que l'homme était particulièrement méfiant et paranoïaque à la différence de sa fille. Mais à un moment ou l'autre, je comptais bien arriver à mes fins. Prudente et prête à apprenant à être patiente, comme elle en soit alors que pour arriver à ses fins, elle devrait être particulièrement patiente.
«Et en ce qui concerne, ta fameuse guerre qui approche à grands pas, ce n'est pas mes affaires !!! Alors pourquoi devrais-je m'en soucier? »« Parce que mon père pourrait très bien décider de faire appel à ses alliés, et que d'une manière ou d'une autre, vous êtes considérés comme ? » Un ton neutre mais qui était aussi la vérité. Une alliance constituée avec son mari. N'étant nos ennemis alors qu'au contraire le réseau du trafic de drogues passait par eux aussi. Et s'il y avait une guerre, ils seraient aussi impactés d'une manière ou d'une autre. Un appel aux gangs. Un appel aux alliés si besoin est. Lucifer qui était devenu récemment plus tendu que jamais, comme tremblant à l'idée que son trône n'en vienne à brûler, pensif et bien trop évasif. Ce qui n'était pas sans éveiller ma suspicion bien que jusqu'à là, je n'avais que des indices et nulle certitude si ce n'est ce pressentiment qu'un événement allait se produire. Ne sachant encore si ce serait en bien ou en mal, mais en général aucun événément qui ne s'était produit ne s'était révélé particulièrement positif.
Et soudain le petit garçon qui débarquait dans la pièce. «On devrait faire des cookies. T'as des pépites de chocolat ? » Un cri retentissant de victoire alors que j'esquissais un sourire avant de me diriger vers le plan de travail et la cuisine. Connaissant les lieux que trop bien et des plats que je commençais à sortir. « T'es sûre que tu veux pas rester faire des cookies avec nous ? » Et aussitôt Léon qui ne pouvait qu'exprimer son désir en effet que sa maman reste. Que consciente que je lui compliquais ses plans romantiques ou pour la soirée. Sans pitié. Et faisant comme si de rien n'était alors que je sortais les pépites au chocolat tandis que tout heureux Léon était reparti pour aller chercher son renard adoptif. Renard qui était pour ainsi dire aussi grand que le garçonnet. Lui que je soulevais pour le faire asseoir en hauteur. Devenant assistant et un renard qui prenait tout aussi place à côté de lui. Un renard qui semblait regard avec attention Vic, presque à lui adresser un sourire. La situation qui semblait presque comique et qui pourtant donnait l'impression de se trouver dans une famille à réaliser des activités collectives et manuelles ensembles comme si dehors, de l'autre côté de cette porte, il n'y avait ni violence ni trafic.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
« Et j'ai cru qu'on pourrait déplacer des montagnes, que rien ne serait impossible, mais je m'étais visiblement trompée. » Il m'arrivait parfois de lever un sourcil en entendant certaines de ses paroles. D'ailleurs, je restais de longues minutes silencieuse.
Je n'avais aucun droit de lui en tirer de leçon de morale sur son périple amoureux. Elle a cru que .. et elle finit par se faire brûler.
L'amour est imprévisible. Elle te prend soudainement par les trips... On fréquente parfois quelqu'un pendant des années, et des années ... et puis ... Tout soudainement aussi, on le voit soudain sous un autre jour.
Et cette réalité qui te fait malheureusement ouvrir les yeux sur la personne que tu es censé lui jurer fidélité, te pousses à rompre ou bien, à tomber dans les bras dans un autre homme.
Moi, j'en suis arrivé jusqu'à là...
«Ouais, l'amour est inexplicable, je dirais même qu'il est notre pire ennemi et il te frappe quand il veut, et souvent, ça fait terriblement mal ! Mais parfois, il faut supporter les défauts de l'autre personne, parce que d'une certaine manière, elle te complète. Elle peut te rendre plus puissante, et faire de toi, ce que tu es!!! »
Rodrigo a fait de moi, la femme que je suis aujourd'hui. A une époque, j'étais une adolescente totalement perdue, apeurer, et naïve. Il a réussi à forger mon caractère et à initier à la plus haute sphère d'un trafic de drogue. J'ai utilisé ces pires défauts pour devenir la pire vipère.
Pourtant, l'amour est une mauvaise excuse pour supporter des choses qu'on ne devrait jamais supporter.
Mais nous n'étions pas là pour discuter de Rodrigo, mais bel et bien, de mon amant. Devrais-je ressentir une onde d’humilité ? Ressentir de la honte de tromper mon époux depuis tant d'années ?
« Azraël, ce que je veux réellement, je ne l'aurais jamais ! »
La vie est loin d'être simple. Je ne pouvais pas quitter mon époux pour Enzo – pourtant, j'en ai terriblement envie, mais une fois de plus, derrière cette facette, mes peurs se sont noyées dans l'amour qui me semblait si parfait. Indirectement, Enzo me sauve pour que je puisse me lever, et dire que tout ira bien !!!
« Je ne peux pas quitter Rodrigo, parce que je sais éperdument, qu'il me rendra la vie impossible. »
Et je voulais éviter ça !!! Je ne voulais pas que mes enfants souffrent, ou qu'ils leur arrivent quoique ce soit tout ça , parce que j'aurais agi de manière totalement égoïste. Puis, en le quittant, j'allais tout perdre ... Il allait tout m'enlever... Absolument tout et honnêtement, je n'étais pas prête.
Même si Enzo me mettait la pression, et exigeait que je quitte mon époux, je n'y arrivais pas !!! Pourtant les heures tournent et ma seule solution qui m'avait traversé l'esprit, pour pouvoir être heureuse avec l'homme que j'aime, c'était de l’éliminer.
«Si c'est le cas, si quelqu'un découvre mon secret, je le tuerais tout simplement ... Je suis prête à tout pour que ce secret soit bien gardé alors, je ne me gênerais pas »
Et honnêtement, ce ne sera pas la première fois. J'avais déjà dû utiliser mon arme pour faire taire un membre du cartel. Il avait des doutes, et ces doutes étaient des menaces pour moi .. ET ça, j'avais horreur.
Cela dit, j'ai conscience que cela ne pourra pas éternellement durer surtout que récemment, j'ai fait la grosse erreur de révéler la paternité de Leon à Enzo. J'ai ouvert les hostilités sans vraiment le vouloir !!! Alors ouais, j'avais autre chose à faire que me mêler d'une guerre qui n'était pas ma cause. Son père aura beau faire appel à nous pour le soutenir ou lui tenir les couilles, car il n'aura pas le courage de les affronter seul, je l'enverrais tout simplement chier – proprement parlant.
«Je crois que tu n'as pas très bien compris. Nous sommes alliées uniquement pour le business. On vous fournit ce qu'il faut, et vous en faites ce que vous voulez. Mais en aucun cas, on ne va se mêler d'une guerre qui n'est pas la nôtre... Nous ne sommes pas là pour balayer vos déchets ... saches-le
surtout, que j'avais d'autres chats à fouetter, mais cependant, Rodrigo pourrait bien avoir un autre avis à ce sujet et être partant pour les soutenir, mais pour ma part, il était hors de question que je me fasse d'autres ennemis et encore moins, dans cette ville. Ma famille est partie s'immigrée ici, ce n'est pas pour commettre les mêmes erreurs.
Mon objectif en venant dans cette ville c'était pour mettre en sécurité mes enfants ... D'ailleurs, en parlant d'enfant, Leon bondissait subitement dans la cuisine.
« Je dois penser à mes enfants avant tout! . »
Lui avais-je murmuré délicatement tout en fixant mon fils. Quand elle sera un jour maman, elle comprendra mieux mon point de vue!
Alors qu'elle me demandait des pépites de chocolats, je me montrais le tiroir où, se trouvait le sachet chocolat encore bien plein !!!
«Oui, j'ai prévu le coup et j'ai pris tout ce qu'il fallait pour faire de délicieux cookies. » Sur ces paroles, je lui préparais le restant sur la table « Mais s'il te plait, ne lui fais pas manger trop sucré surtout la nuit. »
mon regard se retournait de nouveau vers mon petit garçon qui avait amener difficilement ce gros peluche. JE souriais de toutes mes dents blanches , essayant de cacher mon mal être
« Si Rodrigo découvre ma liaison, il découvrira une autre vérité et cette vérité qui risquerait de me faire payer très cher, tu comprends? » Est-ce que Rodrigo serait capable de faire du mal à Leon? Je n’en ai aucune idée, mais je préfère le préserver aussi longtemps que je pouvais!!! « Alors si tu tiens vraiment à Leon, je t'en supplie, oublie cette conversation. J'ai déjà perdu un enfant, en perdre un autre me tuerait. »
Je prendrais une grande aspiration pour reprendre mes esprits et fortes que j'étais, je gardais ce sourire entre mes lèvres alors qu'intérieurement j'en tremblais. Azrael installait convenablement mon petit garçon ainsi que ce renard qui me semblait me fixer .... Cela me mettait encore plus mal à l'aise ... Je m'approchais d'elle, et je lui murmurais pour éviter tout de même que mon fils m'entende
« Excuse-moi, je préfère les cornets deux boules aux Cookies. »
même si au vu de la situation et de ma relation assez tendue avec Enzo, je ne crois pas que ce soir, je pourrais déguster mon cornet. Mon petit rendez-vous avait surtout pour but de réparer les pots cassés. Sous un petit rire pour essaye d'apaiser cette atmosphère, je me dirigeais ensuite vers mon fils. Je le prenais dans mes bras
« Maman n’en a pas pour longtemps. Promis chéri. » Leon se dégageait aussi vite de mes bras, pour partir en courant vers la salle à manger. Il n'avait pas valu longtemps pour qu'il revienne avec un dessin, représentant des dinosaures. Ces bestioles qu'il adore tant !! « J'ai fait ça pour Enzo, tu pourras lui donner s'il te plait!! C'est pour lui dire merci d'avoir été très gentil avec moi la fois dernière, et aussi pour le beau cadeau qu'il m'a fait ... » Il me montrait son dessin et il commençait à m'expliquer les différents dinosaures qu'il avait essayé de dessiné et de ce fait, je devais répéter ceci à Enzo... Je m'agenouillais devant lui, et aussitôt, je lui coupais la parole « bébé, je t'ai dit quoi? » Il tournait la tête de gauche à droite, et de droite à gauche. Et il murmurait: « Been, que papa ne doit jamais savoir et je ne dois pas en parler .. à personne et ! » Son petit regard se tournait vers Azrael « oh! même à tatie??? Mince, pardon, maman ... Je suis désolé. » Il allait sur ces 6 ans, je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas savoir tenir sa langue dans sa poche. Ce n'était qu'un enfant.
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
∴ Pseudo : Glacy ∴ Pronom irl : elle/she ∴ Posts : 711 ∴ Faceclaim : Demet Ozdemir ∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature) ∴ Âge : 28 ans ∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort ∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil ∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥ ∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter ∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia ∴ Free land : Barbie ◊ Edwin ◊ Alyona ◊ Brice #1 ◊ Aleks ◊ Arizona ◊ Adèle ◊ Peter ◊Brice #2 ◊ Cinaed ◊ Moira ◊ Lip ◊ Victorya
▬
a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;
∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie ; zoophilie, nécrophilie ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence ; uc
« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
Sujet plus sensible. Sujet plus imprévisible. « Ouais, l'amour est inexplicable, je dirais même qu'il est notre pire ennemi et il te frappe quand il veut, et souvent, ça fait terriblement mal ! Mais parfois, il faut supporter les défauts de l'autre personne, parce que d'une certaine manière, elle te complète. Elle peut te rendre plus puissante, et faire de toi, ce que tu es!!! » « Alors tu supportes les défaults de ton mari parce qu'il te rend plus puissante ? » Me demandant si c'était pour cela qu'elle restait, qu'elle était toujours là. Me demandant si c'était ce qu'elle recherchait avec l'amour, de devenir plus puissante, d'avoir le pouvoir à portée de main. Toujours là pour une raison. Ambitieuse. Un mari qu'elle n'avait fui. Un mari auprès duquel elle restait aux côtés même si elle en aimait certainement un autre. Me demandant si dans un sens, elle l'aimait aussi à sa manière son mari. Ayant certainement raison de dire néanmoins que l'amour nous transformait et nous frapper au dépourvu, au moment où on s'attendait le moins. Plus puissante comme elle. Etant devenue plus forte. Ayant appris qui j'étais vraiment. M'étant endurcie. M'étant créée une carapace. N'étant plus là à attendre de recevoir des coups, au contraire, prête à en donner. Ce que j'étais capable de faire désormais. J'étais plus forte. J'étais différente comme elle, alors je pouvais certainement comprendre l'attrait aussi du pouvoir ou la volonté de devenir plus forte, plus puissante.
« Azraël, ce que je veux réellement, je ne l'aurais jamais ! » Ce qui était dit. « Je ne peux pas quitter Rodrigo, parce que je sais éperdument, qu'il me rendra la vie impossible. » « A moins qu'il soit tué. » Un simple constat mais étant certaine que l'idée lui avait déjà traversé l'esprit, bien qu'au bout de ces années il était toujours là. M'approchant d'elle. Regard plongé dans son sien alors que des plus sérieuses que je lui posais la question. « Tu veux que je le tue ? » Un travail bien fait. L'homme qui ne souffrirait pas. Elle qui n'aurait pas son sang sur les mains. Un empire qui serait alors à elle. Il suffisait qu'elle dise oui et son sort qui serait scellé. L'ange de la mort qui viendrait lui rendre une dernière visite.
«Si c'est le cas, si quelqu'un découvre mon secret, je le tuerais tout simplement ... Je suis prête à tout pour que ce secret soit bien gardé alors, je ne me gênerais pas » « Aurais-tu oublier que tout fini toujours par se savoir avec Big Brother ? » Tout qui se avait toujours. Big Brother qui laissait trainer ses oreilles. Quoique cela faisait un petit moment qu'on n'avait pas entendu parler de lui. Se montrant discret ou n'ayant peut être plus de ragots croustillants à se mettre sous la dent. Ce qui ne manquait pourtant pas dans cette ville. Il y avait toujours un événement. Il y avait toujours un coup de génie, un spectacle auquel on assistait, les feux de l'amour, une nouvelle liaison à apprendre. Ce dotn elle devrait se méfier alors que sa vie pourrait très bien être étalé sur les réseaux sociaux et alors là un secret qu'elle ne pourrait plus dissimiler.
«Je crois que tu n'as pas très bien compris. Nous sommes alliées uniquement pour le business. On vous fournit ce qu'il faut, et vous en faites ce que vous voulez. Mais en aucun cas, on ne va se mêler d'une guerre qui n'est pas la nôtre... Nous ne sommes pas là pour balayer vos déchets ... saches-le » « Mais vous perdrez un très bon client. » A la fin de la journée, la guerre impacterait tout le monde, eux y compris même s'ils étaient simplement fournisseur de partie de composant. Et lucifer qui n'avait pas cette vision du monde, soit contre lui, soit avec lui. Et la guerre de territoire qui avait toujours des conséquences, des morts, du chiffre d'affaire en moins, parfois l'élimination de la concurrence.
« Je dois penser à mes enfants avant tout! » Protéger ses enfants à tout prix, n'en n'ayant encore idée de ce que cela voulait dire. Des enfants que je n'avais pas. Une idée à laquelle je n'avais jamais pensé réellement. Avoir des enfants. Devenir maman. Une vie paisible. Pourtant une idée qui plaisait, qu'un jour être posé, être en couple, image d'enfants gambadant dans l'herbe. Me laissant à rêver pendant un instant. Petite fille aux cheveux bruns, longs. Ce qui n'allait pas arriver maintenant à moins de trouver la bonne personne, de se marier. Des étapes.
«Oui, j'ai prévu le coup et j'ai pris tout ce qu'il fallait pour faire de délicieux cookies. » « Mais s'il te plait, ne lui fais pas manger trop sucré surtout la nuit. » « Promis. » Une vraie mère poule, me demandant ce qu'il sera quand l'enfant qui grandissait. Paraissant encore plus protectrice à son égard, ce qui était aussi justifier au regard du secret qui pesait sur ses épaules. Après tout n'était pas obligé d'être dit forcément. Et un secret qui lui pesait réellement alors qu'elle reprenait la parole autant passionnée qu'inquiète. « Si Rodrigo découvre ma liaison, il découvrira une autre vérité et cette vérité qui risquerait de me faire payer très cher, tu comprends? » « Je ne suis pas stupide. » Yeux que j'avais levé au ciel. Etant loin d'être stupide. « Alors si tu tiens vraiment à Leon, je t'en supplie, oublie cette conversation. J'ai déjà perdu un enfant, en perdre un autre me tuerait. » Hochement de tête silencieux. Consciente des risques. Secret qui ne serait pas trahie de ma bouche, pas auprès de son mari.
Et une conversation toute différente qui s'installait. « Excuse-moi, je préfère les cornets deux boules aux Cookies. » « Tu m'étonnes... » Petit sourire en coin. Tu m'étonnais qu'elle voulait plus que des simples cookies. Un choix qui était vite fait visiblement entre son fils et son amant. Ou plutôt un choix de desserts à la carte qui était vite fait. Ce que le garçonnet n'était pas en mesure de comprendre bien qu'il suffisait de voir son sourire se tordre pour comprendre qu'il n'était pas spécialement ravi du choix de dessert. Comme s'il était possible de battre les cookies aux pépites de chocolat. Un exploit visiblement possible. Et néanmoins son attention qui était très vite détournée alors qu'il repartait comme une fusée cherchait un dessin. Une feuille de papier blanche et dessus des dinausaures. Les mots d'un enfant innocent. Un enfant innocent qui aussi simplement que cela dévoilait un secret jalouseument gardé avec sa petite bouille adorable. Comme si malgré ses mots, il pouvait être excusé. Un comportement qu'elle ne pouvait pas réellement gronder alors qu'il restait un enfant. Un petit garçon auprès duquel je m'agenouillais alors qu'il portait son dévolu sur moi. « oh! même à tatie??? Mince, pardon, maman ... Je suis désolé. » « Tati compte pas Léon parce que tu n'as pas vu tatie. » Un clin d'oeil que je lui adressais. Présence discrète dans cette grande demeure. « Mais n'oublie pas c'est un secret. » Doigt que je glissais contre mes lèvres comme mimant une fermeture alors qu'il faisait de même. M'imitant. Tout un jeu. Un jeu aux conséquences dangereuses néanmoins. Et ingrédient que je commençais à associer, mélanger.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
« Alors tu supportes les défaults de ton mari parce qu'il te rend plus puissante ? » C'est vrai que cela parait un peu invraisemblable d'utiliser les défauts des autres personnes pour en tirer quelque chose qui vont à ton avantage. Mais oui, mon mari est le premier des grosses vermines, mais c'est grâce à sa manière d'être, qui a fait de moi, ce que je suis.
Rodrigo me connaît depuis mon adolescence, d'ailleurs, il était un adulte quand il a commencé à me toucher, à me faire l'amour, à faire de moi, la mère de ses enfants. Il a fait de moi, ce qu'il voulait. Il a fait de moi, un double. Il m'a initié à la violence, et la drogue, il m'a appris à être comme lui !!! Il a un tas de défauts, et ces défauts je les utilises pour être plus forte!
Elle me voit comme telle, comme une véritable vipère qui n'hésite pas à tout moment à attaquer et à cracher son venin pour en faire une victime. Mais derrière ce décor, derrière ces 4 murs, dirais-je, se cache une tout autre vérité.
Pourtant, on ne se donne pas toujours les moyens d’avancer dans la bonne direction, on stagne au stade des “si seulement…”, des “j’aimerais…”. La vie est loin d'être comme des films à fleur de rose, où généralement, tout finit bien !!! Ici, que cela soit pour elle, pour moi, ou mon époux, je sais qu'un jour ou l'autre, cela finira mal !!!
« Rodrigo n'a jamais été un homme très tendre, si tu veux tout savoir !!! Il a une obsession absolue du contrôle ... Pour l'instant, tu n'as pas encore eu l'opportunité de le rencontrer dans les affaires de la drogue, mais, tu verras par toi-même, il est profondément sombre et mauvais... »
Mon mari faisait plutôt affaire avec son père qu'avec elle, mais il se tarde qu'un jour, ils aillent devoir se rencontrer.
Le tuer ? J'y avais songé et j'y songe encore !!! Mais c'était plus facile à dire qu'à faire....
«Si tu le tues, Santiago ne te pardonnera jamais et il fera de toi, et de ton organisation un ennemi »
Le mieux ce serait que cela soit lui qui le tue, mais chaque chose à son temps. J'y travaillais, et je ne préférais pas étaler mes plans diaboliques tout de suite. C'était une affaire du cartel, et non de la sienne.
«Tu sais ce que j'en fais de ton Big Brother ? Et c'est qui celui-là ? Un gros lard qui passe sa vie à regarder dans les serrures des gens ? Si c'est le cas, il en du en voir des trucs bien cochons. »
Ce n'était pas vraiment le terme exact, mais faut savoir une chose, il m'arrivait parfois de ne pas tout comprendre les termes anglophobes. A la base, ma langue maternelle est l'espagnol alors big pour moi, c'était gros alors que cela n'a rien à voir !!!
Et autre chose pour éviter tout polémique, je n’avais rien contre les gens en surpoids – le gros lard était parti spontanément sous l'énervement. (mieux vaut prévenir)
Pourquoi assistait-elle tant à ce que je participe à des confrontations qui ne me regarde pas ? C'est vrai que les Irlandais, je ne les portais pas dans mon cœur spécialement, surtout qu'ils brassent des bières qui donnent juste envie de les cracher dessus tellement que ce sont des bières plates. Aussi plate qu'un cul d'homme.
Mauvais souvenir de dégustation de Guinesse.
« Et tu veux que je fasse quoi? Que je donne la fessée à ton @Cináed O'Reilly : en lui criant dessus qu'il a été un vilain garçon et qu'il doit retourner chez mama ? »
Honnêtement, je me voyais mal le mettre sur mes genoux, et lui infliger une série de claques sur ces fesses ... Quoique... Dans mon esprit un peu malsain, va t’en dire, pour un irlandais, il doit avoir des belles fesses bien rondes et cela doit bien rebondir.
Bref, rapidement, je lui adressais un sourire pour lui faire comprendre que je la taquinais.
«On verra bien au moment venu, ok ? »
Je ne disais pas oui, mais je ne disais pas non, non plus ! Je n'étais pas vraiment favorable à me mêler à cela, mais si elle devait avoir mon soutient, et bien ....
elle restait quand même à mes yeux quelqu'un d'important et je me voyais mal lui tourner le dos !!!
Alors qu'elle suggérait de faire des cookies avec mon petit garçon, qu'il avait malencontreusement cité le prénom de Enzo. Comme je disais, je ne pouvais pas lui en vouloir et encore moins, lui crier dessus. Il n'était qu'un enfant innocent qui voulait tout simplement offrir un dessin à son ami !
Je prenais son dessin et je faisais bien attention à ne pas l’abîmer.
Je me relevais et je me retournais vers elle !!
« Merci ! »
lui soufflais-je avant de donner une bise sur le front de mon garçon !!!
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
∴ Pseudo : Glacy ∴ Pronom irl : elle/she ∴ Posts : 711 ∴ Faceclaim : Demet Ozdemir ∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature) ∴ Âge : 28 ans ∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort ∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil ∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥ ∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter ∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia ∴ Free land : Barbie ◊ Edwin ◊ Alyona ◊ Brice #1 ◊ Aleks ◊ Arizona ◊ Adèle ◊ Peter ◊Brice #2 ◊ Cinaed ◊ Moira ◊ Lip ◊ Victorya
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Tentant de percer le mystère, de comprendre pourquoi elle était toujours là, de comprendre qui était vraiment ce mari dont elle ne m'avait jamais parlé mais qui n'était pas très haut dans mon estime. « Rodrigo n'a jamais été un homme très tendre, si tu veux tout savoir !!! Il a une obsession absolue du contrôle ... Pour l'instant, tu n'as pas encore eu l'opportunité de le rencontrer dans les affaires de la drogue, mais, tu verras par toi-même, il est profondément sombre et mauvais... » « Très tendre.. tu veux dire jusqu'à te frapper ? » Des mots précis qu'elle avait employé. Une obsession absolue du contrôle. Des mots qui n'avaient pas forcément une signification particulière pour certain mais dans un univers où le sang coulait facilement, où la loi du silence régnait, les mots avaient au contraire toute leur importance. Une description qu'elle continuait de dépeindre et qui était tout sauf flatteuse. Et des mots qui me laissaient porter à croire qu'elle savait que j'avais réintégré la mafia alors qu'elle ajoutait que je n'avais pas encore eu l'opportunité de les rencontrer dans les affaires de drogue. N'ayant en effet pas eu cette opportunité ou cette chance. « Je n'en n'ai pas encore eu l'opportunité. Mais tu le sais déjà.. que je risque de le rencontrer prochainement n'est-ce pas ? » Sous-entendu. Ce qui risquait de se passer bien que je ne m'occupais pas particulièrement des affaires de drogue, plus chargée du contrôle général ou de m'assurer que l'image de la fondation ne serait pas tâchée ou ternie par des impuretés. Chargés de m'assurer que la police ne vienne pas mettre son nez là où il ne serait le bienvenu. Un homme que je pourrai en effet être amenée à rencontrer. Mais s'il était aussi maniaque du contrôle qu'elle semblait le dire, cela lui faisait simplement un point commun avec mon cher paternel. Ce qui n'avait rien de réjouissant pour sa vie. Ce qui ne supposait de commettre aucune erreur car les erreurs n'étaient généralement pas acceptées. Sombre et mauvais. Mais nous l'étions un peu tous. Mi femme mi monstre. Une part d'obscurité qui existait, qu'il était désormais impossible de renier.
Et une proposition. Une proposition qui pouvait paraitre indécente mais qui pouvait constituer la solution à ses problèmes. « Si tu le tues, Santiago ne te pardonnera jamais et il fera de toi, et de ton organisation un ennemi » « Est-ce que j'ai l'air de laisser des traces de ma présence quand je tue des gens ? Il me semble pas, non. » Un manque de professionnalisme que de laisser des traces, des empreintes. Et avec les cadavres que je laissais derrière en jouant à l'ange de la mort, il était encore plus nécessaire de se montrer prudent et de faire attention. Ce que je faisais. Pour que personne n'en vienne à remonter jusqu'à moi. Pour que la police ne se dirige pas dans ma direction, ni dans celle de la mafia. Particulièrement professionnelle que ce soit pour tuer des concurrents ou simplement d'autres personnes. Un niveau de professionnalisme nécessaire pour ne pas se faire attraper ni tuer. « Tu m'offenses à moitié en pensant que j'ai l'air d'un amateur. » Elle qui savait pourtant bien ce dont j'étais capable. « Siantago n'en saura rien. » Et me demandant au fond si elle ne craignait pas de voir son mari mort. Après tout, elle n'avait ni accepté ni refusé, elle s'était juste retranchée derrière son fils. « Est-ce qu'au final tu ne veux pas le voir mourir ? » Une question. « Ou est-ce que tu ne veux pas que je le tue ? parce que tu n'as toujours pas répondu à ma question. » Mon regard toujours posé sur elle. Son choix. Elle pouvait donner l'ordre et je deviendrai l'exécutionnaire. Elle suffisait qu'elle donne l'ordre pour que je puisse me transformer en instrument de la mort et le tuer proprement. Au moins elle serait libre, comme son fils. Et peut être l'espoir de vivre avec son amant secret. Me demandant si elle n'était pas aussi courageuse qu'il ne le paraissait. Mais dans le fond, qui étais-je pour la juger.
«Tu sais ce que j'en fais de ton Big Brother ? Et c'est qui celui-là ? Un gros lard qui passe sa vie à regarder dans les serrures des gens ? Si c'est le cas, il en du en voir des trucs bien cochons. » Esquissant un sourire alors que je sortais mon portable et m'approchais d'elle pour lui montrer les différents posts de Big Brother sur les réseaux sociaux. « Je serai curieuse de savoir qui c'est. » Peut être certains qui cherchaient à découvrir son identité sans succès. A la recherche du croustillant.
Et une guerre qui était peut être plus sanglante que croustillante. « Et tu veux que je fasse quoi? Que je donne la fessée à ton Cináed O'Reilly : en lui criant dessus qu'il a été un vilain garçon et qu'il doit retourner chez mama ? » « Non je m'en occuperai moi-même. » Lueur prédactrice dans le regard. Des comptes à régler avec les irlandais. Et ne pensant pas alors à lui administrer une fessée comme elle le proposait mais de régler les choses à ma manière comme je le faisais désormais toujours. « Et puis qui te dis qu'il est vraiment celui que je traque ? » Une cible comme sa fille, mais s'il était à accrocher sur le tableau de chasse, il n'était pas la proie que je traquais. Il était toutefois un moyen d'arriver à mes fins. Intéressée par son père. Intéressée par ceux qui se trouvaient dans les échelons supérieurs, mais s'il était nécessaire pour ce faire de mettre le bordel à feu et à sang, alors soit. Tous les coups qui étaient permis. La vengeance qui était un plat qui se mangeait froid, voir même cru. La nécessité d'être patient. «On verra bien au moment venu, ok ? » Un hochement de tête et un léger sourire alors qu'elle embrassait le garçonnet tandis que je continuais de préparer la pâte, ajoutant les cookies et m'apprêtant à former des petites boules sur la plaque de cuisson. Des délicieux cookies aux pépites de chocolat. Presque déjà à en avoir l'eau à la bouche.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
« Très tendre.. tu veux dire jusqu'à te frapper ? » Ce n'est pas parce que mon époux est un homme à tempérament sadique qu'il me frappait systématiquement. Si c'était le cas, cela aurait été bien plus facile pour moi de prendre mes jambes à mon cou et de fuir!
Ou pas !!!
Je n'étais pas une femme vulnérable, marginalisée ou bien encore, je ne suis pas dépendante financièrement à mon mari. Pour cela, je n'avais pas à m'en plaindre.
C'est vrai que parfois, cela nous arrivait de nous disputer comme tout couple.
Un couple parfait, digne d'un conte de fées, où le prince charmant et la princesse charmante se côtoient pour vivre heureux ensemble sans heurts et pour toujours, hummm, j'ai bien peur de détruire cette image symbolique qui vous semble si parfaite, mais entre vous et moi, vous savez que cela n'existe pas. Nous ne vivons pas dans un conte de fées, où tout est beau, bon et merveilleux... Loin de là.
Alors oui, parfois, cela nous arrivait à nous taper dessus... Des objets qui volent, des claques qui volent, cela font partie de notre scène de ménage. Une scène qui reste confidentielle entre nos 4 murs.
«Ma puce, dans le feu de l'action, il est parfois difficile de contrôler nos ardeurs »
Je lui faisais un petit clin d’œil, faisant bien sûr allusion au sexe et non aux scènes de ménage. Je préfère détourner de peu la conversation, et puis, honnêtement, je ne pouvais pas me considérer comme une femme battue... Il ne m'a jamais tabassée proprement parlant. Comme je disais, moi-même, parfois, je perdais le contrôle.
« et nos désirs sexuels. »
Il faut de tout dans un monde.
Certains aiment cette façon de faire l'amour. D'autres, aime cette façon brutal.
Enzo lui était beaucoup plus attentionné, et totalement différent. Deux hommes totalement opposés.
Mais ceci dit, revenons à nos moutons, et il fallait mieux que j'évite de divulguer mes préférences sexuelles parce que je doute que cela intéresse la jeune demoiselle...
Néanmoins, amateur ou pas, elle restait encore une débutante avec peu d'expérience. Et puis, jamais, je ne laisserais un camp adverse éliminer mon époux. Rien que cette idée qu'avec cette victoire, elle aurait une confortable avance à mon écart, cela risquerait de réveiller ma jalousie et ma soif du pouvoir !!!
« Il est le père de mes enfants, et l'homme avec qui je couche depuis plus de 28 ans, alors excuse-moi de douter un peu de mon amour pour lui !!! »
L'aimais-je encore ? En toute franchise, je vous dirais non, mais au fond, je crois que je mentirais à moi-même. Mes sentiments envers lui sont assez troubles.
L'amour rend aveugle, et souvent, elle pardonne.
Mais je sais aussi que j'aimais Enzo, et à choisir ...
C'est loin d'être simple !!!
« Je ne veux pas que tu le tues, ok ? C'est ça que tu veux entendre ? » Plus clair que cela, je ne pouvais pas faire « Maiiiiiiis, tu peux coucher avec lui ? Par contre tout ce que je te demanderais, c'est des preuves.... »
Je serais beaucoup plus crédible si j'obtenais des preuves que mon époux était un homme aussi infidèle que sa femme. En ce moment, face à un juge du divorce, j'étais vulgairement parlant, la salope qui trompe son époux depuis des années et qui en plus de cela, a fait un marmot avec un autre... Et le pourcentage de gagner cette bataille, était des minces.
Je risquerais de perdre tout !!!
Mon mari gagnera haut la main le divorce, et ça, il était hors de question.
Le tuer, pourrait tout solutionner, je l'accorde, mais, que vais-je dire devant la police ? Ils vont enquêter, et je ne donnerais pas cher de ma peau !!! Mieux vaut avoir une avance sur eux et agir de manière stratégique que de me jeter inutilement dans la gueule du loup.
Donc, chaque chose à son temps, et sa mort est prévue, mais pas tout de suite mes enfants. !!!
Cependant, pour revenir à ce fameux Big Brother, je n'étais pas vraiment fan des ragots malveillants qui consiste principalement à nuire la personne. Ceci dit, ce type de commérage, je ne m'en faisais pas trop, et puis, dans le milieu de l'érotisme, dans laquelle, je faisais partie, il va de soi que j'étais de peu habituer. Et c'est d'ailleurs pour cela, que mon mari et moi, nous évitions tout interview, ou tout autre scandale.
« T'es peut-être curieuse, mais pas moi !!! Qu'il reste où est, celui-là»
J'avais déjà mes propres problèmes personnels, je n'avais pas envie d'en rajouter d'autres. Déjà qu'elle me proposait de me mêler de ses histoires de conflit entre gangs, je crois que c'est largement suffisent.
« Si ce n'est pas lui que tu traques, alors que cherches-tu à faire ? »
Elle a peut-être suivi mes conseils qui dit !!! Pour atteindre la vengeance suprême, rien de tel que de s'attaquer aux personnes qu'il tient le plus... Moi-même, j'en avais payé le prix fort avec ma fille. Nous vivons dans un monde sans pitié et malheureusement, parfois, il nous arrive aussi de perdre.
« D'ailleurs, qu'est-ce que les Irlandais ont bien pu te faire pour que tu aies cette envie de les défier ?»
Mon temps était limité, et mon amant m'attendait, mais à vrai dire, elle m'intriguait terriblement, et je souhaitais en savoir un peu plus !!! Si je devais me mêler de ses affaires alors, autant tout savoir !!!
« les Irlandais ont une solide réputation et je ne pense pas qu'ils sont tous très nets dans leur tête»
Alors que le petit Leon préparait les cookies sur la plaque, qu'il relevait la tête en suggérant:
"Oui oui, tu devrais écouter maman. disait-il en regardant sa tata droit dans les yeux avant de se souvenir de son émission préférée. 'tu subiras la colère du peuple viking... du haut de ses 6 ans, il s'instruisait énormément dans divers documentaires et il se souvient très bien que les vikings étaient des ancêtres des Irlandais 'Azraël, tu as déjà vu des vikings? Dans les films, ils sont énormes ... Ce sont de gros nounours à barbe et ils ont aussi des casques à cornes, des haches, des épées et ..." Je mettais ma main devant sa bouche pour qu'il se taise. "Bébé, je t'ai déjà dit un million de fois de pas écouter les conversations des grands Il retirait ma main de sa bouche, et avec son petit air enfantin, il haussait les épaules '"Mais, tu es coté de moi, comment veux-tu que je t'entende pas?" Je lâchais un soupir... Il n'avait pas tort dans un sens ... Je devrais lui interdire de regarder ce genre d'émission, et de croire surtout que les Irlandais étaient encore des vikings à l'heure actuelle... Mais bon, il restait encore un enfant, et il vivait dans son propre monde. Personne ne pourra lui en vouloir pour ces paroles. !!!!
Dernière édition par Victorya Guarana le Dim 7 Fév - 15:53, édité 1 fois
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
∴ Pseudo : Glacy ∴ Pronom irl : elle/she ∴ Posts : 711 ∴ Faceclaim : Demet Ozdemir ∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature) ∴ Âge : 28 ans ∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort ∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil ∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥ ∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter ∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia ∴ Free land : Barbie ◊ Edwin ◊ Alyona ◊ Brice #1 ◊ Aleks ◊ Arizona ◊ Adèle ◊ Peter ◊Brice #2 ◊ Cinaed ◊ Moira ◊ Lip ◊ Victorya
▬
a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;
∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie ; zoophilie, nécrophilie ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence ; uc
« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
Voulant savoir ce qui se passait réellement et craignant par ses mots qu'elle soit battu. Je l'observais avec soin comme pour tenter de deviner. Mais Victorya qui portait un masque alors qu'aussi facilement elle détournait la conversation sans totalement me convaincre mais réussissant à atteindre son but. «Ma puce, dans le feu de l'action, il est parfois difficile de contrôler nos ardeurs » Prête à détourner la tête alors que je n'avais pas besoin qu'elle entre dans les détails. N'étant pas une sainte dans la matière. N'étant pas la plus prude. Mais n'étant pas là à exposer ce qui se passait et ce que je faisait avec qui. Elle qui n'avait pas la même réserve et un domaine dans lequel elle excellait aussi. « et nos désirs sexuels. » « Tu peux t'arrêter là, merci. » Main que je faisais mine de mettre devant mes yeux comme pour éviter de penser à ces ébats sexuels. Image saisie et suffisante, n'ayant pas besoin d'avoir tous les détails. Vraiment pas. « Il est le père de mes enfants, et l'homme avec qui je couche depuis plus de 28 ans, alors excuse-moi de douter un peu de mon amour pour lui !!! » « C'est vrai que cela a l'air l'amour fou entre toi et lui. » Ton sarcastique. Doutant qu'il y ait de l'amour. Est-ce qu'ils éprouvaient même un semblant de plaisir, j'en doutais. « Et puis en soit s'il était aussi formidable au pieu, je doute que t'irais en voir un autre. » Peut être qu'elle restait par peur des apparences, peur de l'inconnu mais je ne pensais pas qu'elle restait par amour pour lui. Pour préserver sa famille ? certainement mais si elle avait peur qu'il les retrouve, alors l'histoire pouvait être réglée rapidement. Il suffisait qu'une balle en vienne à se loger dans sa tête.
« Je ne veux pas que tu le tues, ok ? C'est ça que tu veux entendre ? » « Au moins je sais ce que tu veux maintenant. » Donc elle ne voulait pas concrétiser ses rêves. Ne prenant pas la clef pour s'enfuir, sortir de sa cage dorée. Restant simplement là aux côtés de son mari dont elle doutait de l'amour et préférant peiner Enzo. Reproche intérieur bien que je n'en disais mot alors qu'elle allait plus loin. Ou du moins j'aurai préféré qu'elle vienne en s'arrêter là. « Maiiiiiiis, tu peux coucher avec lui ? Par contre tout ce que je te demanderais, c'est des preuves.... » « Beeurk. » Grimace qui n'avait pas de difficulté à se dessiner sur mon visage rien que face à cette proposition. « Je passe. » Fuyant même. Si elle voulait des preuves, elle avait plus vite fait de se payer les services d'une autre femme ou même d'une prostituée. Mais proposition que je n'émettais même pas. Préférant de loin qu'elles soient aussi loin que possibles de ce type. Et simple proposition qui me répugnait au plus haut même point, même qu'elle lui ait traversé l'esprit, qu'elle me l'ait proposé. Comme si j'étais une catin ou prête à écarter mes cuisses pour lui. Une différence entre tuer et offrir son corps en pâture. « Tu me dégoutes. » C'était le cas. Il n'y avait pas d'autres mots. Stricte vérité. Et pas que j'effectuais pour reculer. Soudainement le désir qu'elle se barre.
« Si ce n'est pas lui que tu traques, alors que cherches-tu à faire ? » La laissant sur un sourire. Peut être un peu de remue ménage. Peut être semer un peu la peur et la destruction dans leur rang. Peut être s'emparer de leur territoire. Peut être s'amuser un peur. Peut être se venger. Une réponse parmi d'autres qu'elle voudrait savoir alors qu'elle était là, curieuse, intriguée. Mais une réponse que je n'étais pas prête à lui donner. Habituée à travailler seule. Ne lui faisant pas confiance au point de lui dévoiler mes plans ou lui avouer que je voulais faire tomber le leader suprême, le réel commanditaire qui se dissimilait derrière ses marionettes. Voulant retirer une variable de l'équation. Semer le chaos. Ce chaos dans lequel je vivais désormais après avoir décidé de cesser de l'ignorer. Cesser de fermer les yeux sur mon héritage, sur la mafia, sur cette entreprise familiale. « D'ailleurs, qu'est-ce que les Irlandais ont bien pu te faire pour que tu aies cette envie de les défier ? » « Peut être que je m'ennuie. » Etincelle dans le regard. Note de bravoure. « les Irlandais ont une solide réputation et je ne pense pas qu'ils sont tous très nets dans leur tête. » « Ils ont peut être une solide réputation mais ils sont fait de chair et de sang. » Humains. Vulnérables. « Ils sont mortels. » N'étant pas effrayée de leur réputation. Une réputation qui n'était pas un gilet pareballe. Discordance depuis des années. Sachant me battre. N'étant plus la même personne qu'avant. Et le petit qui prenait soudainement la parole. Mon regard qui se portait sur Victorya. Oui visiblement les vikings et irlandais ne faisaient qu'un dans l'esprit de la tête du petit garçon. Spatule que je brandissais comme on brandissait une épée. « Les turcs sont plus fort que les vikings. » Sourire amusé. Parce que les irlandais allaient être mangés en bouchée. Traçant un signe dans l'air, comme si c'était l'épée de zorro dessinant un z. Pâte projetée qui gouttait. Flûte. Petites pépites de chocolat échouées sur le plan de cuisine. Léon qui tendait la main pour venir recueillir la pâte. Et ne pouvant que l'imiter. Doigt que je portais à mes lèvres. Pâte qui avait bon goût et spatule que je replongeais dans la jatte. Pépites de chocolat que j'aurai peut être dû attendre avant de les insérer dans la pâte, les déposer par la suite. Oubliant toujours. Prête à faire un mixte. Petit garçon qui approchait sa main du bol. « Tttt, tu attends. » Le réprimandant gentiment alors que je me détournais pour attraper la plaque. Maintenant la tâche la plus ardue et regard que de faire les parfaits cookies. Et regard qui se reposait sur la jeune femme, pas encore partie, peut être au final prête à rester. « Tu devrais quand même faire attention à ce que tu dis, parce que s'il avait entendu la conversation sur ton choix de dessert... » Des mots que j'employais avec soin. Pas certain que ce serait alors la même conversation qui se déroulerait maintenant ou son imagination qui réussirait à illustrer avec des termes aussi simple que des vikings, ce dont elle parlait. Petit garçon qui était parfois oublié car petit, mais pourtant bien là alors qu'il s'était mis à discuter avec son renard. Invité à prendre le thé.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
« Tu peux t'arrêter là, merci. » Lorsqu'on se mêle de ce qui nous regarde pas, un sentiment de curiosité nous envahit puis l'errance surgit, abandonnant toute partie. Je savais bien que mes parties de jambes en l'air, et tout particulièrement, mes pratiques sexuelles, ne l’intéressaient aucunement. J'ignorais ce qu'elle cherchait réellement à faire ou quelle réponse, elle s'y attendait, mais elle oubliait beaucoup de choses, par exemple, j'ai été jeune avant elle.
Avait-elle essayé de me manipulation ? De manière à ce que je me dévoile un peu plus sur ma vie privée notamment sur mon époux ou bien encore, sur le cartel ?
Déjà, je crains avoir trop dit. Notamment, Enzo.
Je me rendais compte qu'elle n'était plus la petite gamine qui avait comme passion le mannequinat. Elle était devenue une sale petite curieuse, qui par chance, je tenais à elle sans cela, je lui aurais déjà éclaté sa belle face contre le plan de travail avant de lui enfoncer mes talons dans sa mâchoire jusqu'au moment où j'entendais les craquements d’os se briser en deux.
Mais, avec l’expérience et les acquis, j'ai appris à me contrôler – puis, il ne faut oublier que nous étions pas seule. J'avais mon petit garçon .et honnêtement, je préférais l'épargner de ce monde rempli de violence.
Je la regardais droit dans les yeux, cherchant ce qu'elle mijotait et ce qu'elle avait derrière la tête. Je m'étais un peu rapproché pour éviter que mon fils nous entende, et d'un ton tout aussi, hautaine.
«Pourquoi me contenter d'un seul, si je peux en avoir deux ? Et puis, depuis quand tue-t-on son animal domestique? »
J'étais loin d'être cette femme qui écartait les cuisses à tout bout de champ – d'ailleurs aussi fou soit-il, dans ma courte vie, si je devais compter le nombre de rapports sexuels, autre qu'avec mon mari, elle serait fortement étonnée.
Je préférais être bref... Je n'avais pas besoin de lui dire davantage surtout que, récemment, je venais d'apprendre qu'elle était un allié de la mafia italienne, le pire ennemi du cartel.
Toutes ces questions n'étaient pas anodines, elle avait certainement un plan derrière la tête.
«Ce n'était qu'une proposition. Je préfère qu'il couche avec une petite curieuse qui se mêle de ce qui ne lui regarde pas, qu'une traînée qui fait office de garage.. Tu comprends ? »
Je ne passais jamais par quatre chemins, et ni même dans mes paroles. C'est vrai que j'étais un peu déçu, elle aurait pu me rendre un énorme service, et puis elle le disait elle-même, elle s'ennuyait alors autant s'occuper d'un manière un peu différente.
« Parce que tu t'ennuies ? Tu veux qu'on se mêle d'un conflit tout ça parce que madame s'ennuie ? Tu te fous de moi là ? Je te donne de l'occupation, et tu refuses ? »
Je sais qu'elle ne me dira pas la vérité, mais ce n'est pas ainsi qu'elle allait réussir à me convaincre de m'allier et de les attaquer.
Un petit sourire narquois s'affichait sur mon visage quand elle disait à mon petit garçon que les Turcs sont plus forts que les Vikings. J'attendais de voir ça !!! Ceci dit, même si, j'étais en désaccord total, je ne voulais plus non plus qu'elle lui arrive malheurs.
Mais il est vrai qu'il fallait faire attention à nos propos et parfois, le petit Leon interprétait cela comme un simple jeu alors qu'en réalité, cela n'avait rien d'amusant.
A une époque, j'aurais foncé tête baissée, et je l'aurais accompagné dans sa folie meurtrière, mais ici, je devais penser à mes enfants avant tout !!! M'interposer dans une guerre entre les Irlandais, la Mafia turc, et peut-être bien même encore, les Italiens, c'était suicidaire. Je ne pouvais pas! Du moins, pas maintenant. Je devais penser avant à ma famille, à l'avenir de ma famille.
« Tu oses me faire la remarque alors qu'il y a deux secondes, tu as suggéré de tuer son père? »
Enfin son faux père. Je mettais ma veste que j'avais déposée un peu plus dans la journée sur la chaise, et j'allais embrasser mon petit garçon, un peu plus loin !!!
« Reste sage!!! » murmurais-je délicatement.
Azraël Yildiz
L'ange de la mort
∴ Pseudo : Glacy ∴ Pronom irl : elle/she ∴ Posts : 711 ∴ Faceclaim : Demet Ozdemir ∴ Merci à : bertolt ♥ (avatar) ; frimelda (signature) ∴ Âge : 28 ans ∴ Occupation : Business woman ; mannequin ; ange de la mort ∴ A Exeter depuis : 10 ans, depuis ce soir où elle est partie en exil ∴ Statut : Bien piètre escroc qui s'est fait dérobé son coeur sans s'en rendre compte ♥ ∴ Place : au coeur de la mafia turque ; au QG de la villa Yildiz ; dans les quartiers sombres d'Exeter ∴ Vice : L'appel du sang et de la mort ; les combats illégaux ; la mafia ∴ Free land : Barbie ◊ Edwin ◊ Alyona ◊ Brice #1 ◊ Aleks ◊ Arizona ◊ Adèle ◊ Peter ◊Brice #2 ◊ Cinaed ◊ Moira ◊ Lip ◊ Victorya
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a une cicatrice en forme de v + des petites cicatrices (brûlures, marque de balle) formant une constellation dans don dos ;
ne sort jamais sans être armée ;
∴ Triggers, refuse de jouer : pédophilie ; zoophilie, nécrophilie ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : violence ; uc
« Go ahed and close your eyes and count. - Okay... 1... 2...3... - No copper, you can't peak. »
Et elle était là, voyant les hommes comme des jouets. Passant de l'un à l'autre. Ce que j'avais toujours eu des difficultés à imaginer, à faire. Faculté qu'il pouvait être possible d'envier. Peut être encore trop jeune ou une mentalité qui n'était simplement pas la mienne. Ayant tendance à donner mon coeur à une seule personne. Ne papillonant pas particulièrement comme d'autres l'aimaient tant. Et des hommes qui collectionnaient des femmes que je n'avais jamais compris totalement. Ne pouvant voir comment ils pouvaient trouver le réel bonheur. Certes le plaisir mais.. Il y avait des mais. Il y avait des visions opposées alors qu'elle prenait la parole, avec une certaine nonchalance. «Pourquoi me contenter d'un seul, si je peux en avoir deux ? Et puis, depuis quand tue-t-on son animal domestique? » « Magnifique. » Tête que je secouais. Ce que je ne pouvais faire. N'étant pas comme elle. Et parfois semblant à des années lumières d'elle. Semblant parfois trop loin, bien trop loin.
«Ce n'était qu'une proposition. Je préfère qu'il couche avec une petite curieuse qui se mêle de ce qui ne lui regarde pas, qu'une traînée qui fait office de garage.. Tu comprends ? » « Je passe. » Un ton sans appel. Un verdict rendu. Décision su laquelle je ne reviendrai pas. Et une proposition bien plus intéressante à mes yeux que je lui faisais, que de faire trembler le monde et ajouter une touche de chaos. Echelons que je voulais gravir. Une autre résonnance à mes oreilles. « Parce que tu t'ennuies ? Tu veux qu'on se mêle d'un conflit tout ça parce que madame s'ennuie ? Tu te fous de moi là ? Je te donne de l'occupation, et tu refuses ? » « Excuse moi si je trouve plus attrayante l'idée de démolir les irlandais que de m'envoyer en l'air avec ton mari. » Note de sarcasme. Cela ne faisait aucun doute que je choisirai encore et encore la seconde option. Sans hésiter. Préférant les voir tous à terre que de m'approcher de lui pour une partie de jambe à l'air ou lui fournir les preuves qu'elle souhaitait pour se débarasser de lui.
« Tu oses me faire la remarque alors qu'il y a deux secondes, tu as suggéré de tuer son père? » « Il n'était pas là. » Enfant qui n'écoutait pas. Enfant qui n'était pas encore dans la pièce. Et un enfant qui aurait très bien pu l'entendre s'il n'était pas préoccupé à parler avec son renard en peluche un peu plus loin. La jeune femme qui s'approchait de lui, lui intimidant de rester sage. Ce qu'il ferait. N'ayant aucune incertitude à cet égard alors que je savais d'avance que la soirée se déroulerait dans la bonne humeur, avec des cookies, avec un renard en peluche, avec des rires et des sourires. Peut être aussi un film, Rox & Roukty. Qui savait. Un ange. Et bien plus innocent que nous l'étions toutes deux.
∴ Pseudo : nyme ∴ Posts : 130 ∴ Faceclaim : lana parrilla ∴ Merci à : tumbl ∴ Âge : 42 ans ∴ Pronom inrp : Je. ∴ Occupation : Femme d'affaires. Icône du cinéma. Double facette. Un sourire adressé au photographe, et une poignée de main pour conclure un pacte avec la diablesse. Elle gère d'une main de fer, tout un arsenal de guerre et de drogue. ∴ A Exeter depuis : 2012 ∴ Statut : Elle est la femme d'un baron de drogue mexicain (CJNG). Mais son coeur appartient à Enzo. Son amant de longue date et père de son petit garçon de 5 ans, Leon. ∴ Vice : Tu ne t'es jamais battu en duel ? Eh bien c'est simple. Le bout pointu va dans l'autre gars. ∴ Free land :
∴ Triggers, refuse de jouer : Tant que tu ne me balances pas de la matière fécale, autrement dit, de la merde peu importe la consistance, je suis quelqu'un qui possède une belle ouverte d'esprit. Maintenant, viens pas avec une tronçonneuse et ne découpe pas les enfants!! Infanticide; ca passe pas!! ∴ Warnings, va être amené.e à jouer : Tout ce que je peux dire, avec ce style de personnage, ne vous attendez pas à un sujet à fleur de rose, et un happy end. Maintenant, si tu es susceptible à la moindre nuance du cœur, rien n'empêche de m'envoyer un mp pour un doute. Elle n'est pas cannibalisme, donc, n'ai aucune crainte pour tes tétons!!!
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