Pheelia ♡ Il est interdit de se disputer devant le bacon !

Cette envie désordonnée de boire ou de manger, cette chose que l’on aime et dont chacun profite sans en avoir réellement besoin. Tu aimes te délecter des bonnes choses de la vie. Assouvir cette ivresse qui te fait tourner la tête, t’arrache ce sourire, cette joie de vivre. Tu profites, Pheelia, tu profites ! Tu aimes piquer avec les doigts, dans les assiettes des gens, depuis toute petite. Tu allais, venais, tu prenais place sur les genoux pour mieux atteindre la table et les assiettes qui s’y trouvaient, pour mieux mettre tes petites mains dans cette nourriture. Finalement, tu ne faisais qu’obéir à maman, Pheelia, c’est bien elle qui te disait qu’il fallait goûter avant de dire que tu n’aimais pas. Tu as cette capacité incroyable de pouvoir grignoter tout au long de la journée sans prendre un gramme. Tu restes cette enfant immature qui aime repousser les limites, qui aime tester les gens.

Tu t’attaches à cette richesse matérielles. Le besoin d’acquérir toujours plus, toujours mieux ! Bien que tu n’en aies pas toujours les moyens. Tu trouves toujours comment arriver à tes fins pour te payer une nouvelle garde robe ! Tu as déjà beaucoup trop d’affaires. Tu exagères. Il te faut toujours plus, toujours trop ! Ton dressing, déjà plein à craquer, tu lui demandes égoïstement de faire une petite place pour une paire d’escarpins en plus. Ce n’est pas que tu angoisses de manquer de choix, tu aimes avoir le choix. Tu aimes passer du temps à te préparer. À te faire belle. Tu as besoin d’avoir le choix. Si tu dépenses facilement ton argent dans ces choses si futiles et pourtant si utiles, tu es avare de sentiments ! Mise à part ton frère, tu ne sais pas dire aux gens que tu les aimes. Est-ce un tort ou bien au contraire, une manière de te protéger ?

Le fait de s’attribuer des qualités que l’on a pas ? Non, tu n’es pas comme ça Pheelia. Tu sais reconnaître tes qualités et tes défauts. En revanche, tu es sûre de toi, Pheelia ! Très sûre de toi. Tu aimes que le monde tourne autour de toi, autour de vous. Car sans lui, tu n’es rien. Fall et toi, vous êtes un tout, vous êtes un lorsque vous êtes ensemble. Il n’y a rien de plus fort que ce lien que vous unis. Tu ne manques pas de vantardise. Tu es vaniteuse et présomptueuse. Tu aimes te faire remarquer. Tu aimes voir les regards se tourner vers toi. Tu es ambitieuse et tu es certaine d’être de ces femmes qui méritent de mener la grande vie. Une vie mondaine ! Tu es hypocrite aussi ! Tu n’hésites pas à dire aux gens ce qu’ils veulent entendre.
Étrangement, tu ne laisses pas de place aux sentiments. Tu ne veux t’attacher à un homme et souffrir ensuite. Tu fuis, tu joues et pourtant, tu peux être cette femme jalouse ! Jalouse qu’une autre que toi puisse attirer l’attention d’un homme que tu convoites. Même pour une histoire d’un soir, ces histoires que tu cumules sans trop de poser de questions. Tu cumules ces histoires comme tu cumules les tatouages qui jonches ton corps. Tu aimes les montrer, ils sont beaux, ils sont toi !

Te laisser emporter par le désire d’une jouissance déréglée. Tu recherches sans retenue les plaisirs d’un amour physique, un amour sensuel. La débauche ne te fait pas peur. Tu es provocante Pheelia ! Tu blasphèmes, tu vis dans l’excès ! À tes yeux, aucune action apportant ce plaisir ne peut être cette action honteuse dont il faut taire la débauche. Tu es cette femme qui reste sauvage, indomptable, insaisissable. On te domine, on te possède le temps d’une nuit. Tu es libre ! Tu es une charmeuse. Un regard mystérieux, tu ne dis pas grand-chose. L’action plutôt que les mots ! C’est drôle d’apprendre à te connaître quand on sait que finalement, les mots, dans ta vie, on un impact important ! De part ton métier. Les mots, c’est tout ce que les gens connaissent de toi ! Les mots qu’ils entendent à la radio quand ils allument leurs postes au petit matin pour commencer la journée.

L’amour du repos, poussant à omettre ou à négliger les devoirs, les obligations. Tout reporter au lendemain, de façon éternel, l’art de procrastiner ! Si tu aimais cela lorsque tu étais adolescente, surtout dans le but d’entendre ta mère hurler qu’il est grand temps que tu te bouges les fesses, tu n’as jamais vraiment été paresseuse. Bien au contraire ! Il faudrait plutôt que l’on t’arrête ! Car lorsque tu es lancée, lorsque tu as une idée en tête, tu ne l’as pas dans tes baskets. Il faut toujours que tu ailles au bout des choses. Pourtant, comme tout le monde, il y a des moments où tu as besoin d’une pause, besoin de te laisser à cette paresse. Et pour cela, il n’y a rien de mieux que de se glisser sous un bon plaid, partagé avec ton frère, un paquet de bonbons entre vous deux et Netflix !

Tu convoites, tu joues de ce sentiment. Tu vois cette femme, belle, dans sa robe trop parfaite, au bras d’un homme que tu commences à désirer. Tu ne eux t’empêcher de t’approcher. De venir jouer. L’envie s’oppose à l’amour, mais l’amour, ce n’est pas ce que tu recherches. Ce que tu veux ! Pheelia, toi, tu ne veux pas aimer, tu ne veux pas souffrir de ce sentiment que t’effraie. Tu veux jouer, profiter. Tu veux montrer que tu es là. L’envie de voir ce regard se détourner de cette femme pour se poser sur toi !
Esprit créatif, tu aimes prendre des risques pour assouvir tes envies. Pour gagner cet argent qui te permet de mener cette vie que tu t’imagines mériter ! Tu portes un masque pour te faire apprécier du public. Tu portes ce masque pour ne pas te laisser atteindre. Personnalité particulièrement expansive, qui ne se donne ni limite, ni frontière, ni contrainte, tu fais selon tes envies !

Femme  souriante. Tu aimes jouer, taquiner. Mais tu es cette femme qu’il ne faut pas trop chercher, pas trop pousser. Impulsive et explosive, il vaut mieux ne pas voir en colère ! Mouvement désordonné de l’esprit emprit d’idées violentes. Ta voix éclate, hurle. Tes bras attrapes et balancent la première chose qui te tombe sous les mains ! Même si il s’agit du précieux vase de l’arrière grande tante, riche comme crésus. Tu n’es pas une ange Pheelia, malgré que tu en aies la gueule. Une véritable démone se cache dans ce corps angélique. Tu te venges ! Tu balances ces paroles offensantes, que tu regrettes parfois. Lorsque tu te prends la tête avec ton frère, avec ta moitié. Il est le seul qui puisse te calmer lorsque tu te laisses submergée par ces émotions négatives. Folie passagère, aveugle et dévastatrice qui te prend lorsque tu es contrainte. Injustice que tu ne digères pas, ou quand une moquerie tombe, ton frère étant le sujet ! Tu es agressive dès qu’il s’agit de ton frère ! Tu es belliqueuse, tu montres les crocs Pheelia !


       Je suis le Seigneur ton Dieu Qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte.
     Petite fille née en seconde position, 13 minutes après cette jumelle devenu jumeau avec le temps. Cette fille garçon qui sera ta moitié, ton tout. Il n’y aura pas de toi sans elle, sans lui ! Deux petites filles nées dans cette famille unis. Famille anglaise ancrée dans la religion protestante. Deux enfants qui seront baptisés et éduqués dans cette religion. Avec la prière du soir, celle avant le repas, l’église le dimanche dans ces belles tenues de petites filles. Croyances qui leurs sont imposées alors qu’elles sont bien trop petites pour comprendre tout cela. Avec ta sœur, vous êtes bien trop occupées à découvrir la vie, à apprendre à marcher et à jouer pour vous soucier de ce dont les adultes se soucient. Trop petites alors les choix sont fait pour vous. Des jouets de fillettes, des poupées, des robes, du rose dans votre chambre que vous partagez. Mais à la garderie, à l’école, tu le vois déjà, ta sœur, qui se tourne vers les jouet de garçon quand toi tu préfères te disputer cette barbie avec une petite blondinette. Tu piques tes premières crises, pleurant, voyant que cela fonctionne, tu apprendras rapidement à en jouer pour obtenir ce que tu souhaites. Tu es cette fillette charmeuse, souriante.

      Tu n'auras pas d'autre Dieu que moi.
      Tu as ta propre chambre. Dans le simple but de t’éloigner de l’influence de ta sœur, de ton frère ! Il est ton prince et toi, tu es la princesse de ce royaume où personne ne vous écoute. Mais personne ne pourra défaire ce lien qui vous unis l’un à l’autre. Et à la nuit tombée, tu ouvres cette porte pour traverser, sur la pointe des pieds, ce couloir qui te sépare de la chambre de ta moitié. Combien de fois tu te glisses en douce dans cette chambre qui fut la tienne avant que vos parents ne déménagent ton lit dans cette autre pièce. Si loin, trop loin. Pourtant, ce n’est que quelques pas. Mais c’est déjà trop pour toi, pour vous. Vous vous faites cette cabane de draps que vous tirez entre son bureau et son lit. Ces draps sous lesquels vous balancez vos coussins pour vous faire un matelas inconfortable sur lequel vous finissez toujours par vous endormir, l’un contre l’autre. Vos parents comprennent bien vite ce qu’il se passe. Et le soir, vos portes seront fermées à clé. Cette clé que tu voleras pour la cacher et ne plus jamais voir cette porte fermée.
     
      Tu ne prononceras pas le nom de Dieu en vain.
      À l’école, vous avez cet uniforme imposé. Jupe pour les filles. Si toi, il ne te dérange pas, tu vois ta sœur, ton frère, ne pas aimer le porter. Tu mets en place ce plan qui semble fou, mais tu fais cela pour lui, pour ton frère. Tu t’introduis dans la réserve de la buanderie de l’école afin de piquer cet uniforme masculin. Ce pantalon qui tu lui offrira lors de votre prochain anniversaire. En partant de la maison, elle sera elle, aux yeux de vos parents, à l’école, ta jumelle sera lui. Il ira se changer pour enfiler ce pantalon quitter cette jupe que vos parents lui imposent. Fallon est une fille, à leurs yeux, aux yeux des autres. Mais pas pour toi. Trop jeunes pour comprendre la vie, pour comprendre qui vous êtes ? Un lubie ? Ou est-ce la honte que leur fille aînée se comporte comme une garçon que vos parents n’assument pas ? De ton côté, tu accumulent les bêtises, les folies pour détourner l’attention. Pour que Fall puisse avoir un peu la paix, pour qu’il puisse respirer. Tu ne rends pas certains devoirs, tu réponds aux professeurs quand tu ne sèches pas les cours. Tu es cette sœur dévouée pour ton prince. Bordel de mer** ce Dieu, il joue vraiment les cons avec vous !
     
      Tu ne commettras pas d'adultère.
      Cheveux court, coupe à la garçonne que tu t’es fait toute seule, dans ta chambre. Tu as prit tes ciseaux et tu as tout coupé. Il en est fini de ta jolie tresse que maman te fait tous les matins. Tu l’as fait pour soutenir ta sœur, ton frère. Tu abordes fièrement cette coupe que tu t’es fait, que lui lui a fait aussi. Il n’osait pas, tu as fait le premier pas. Tu les aimais tes cheveux longs. Mais les cheveux, ça repousse. Et pour ton frère, c’est un nouveau pas. Tu l’aides à se bander la poitrine tous les matins, cette poitrine qui se développe, si toi, tu te sens bien dans ta peau, dans ce corps qui se féminise, ce n’est pas le cas de Fall. Mais tu es là, pour le soutenir. Tu es la seule qui le comprenne, la seule qui le soutienne. Tu te fais engueuler d’appeler ton frère, ton frère. Tu te fais engueuler d’encourager cette folie. Dans leur dos, tu feras des grimaces, supportant de moins en moins cette vie qu’on vous impose. Ces idées qu’on vous met dans la tête. Cette religion qu’on vous enseigne à l’école, tout comme on vous enseigne les mathématiques. Si tu es une bonne élève, que tu as de bonnes notes, tu es cette élève rebelle, pas facile à vivre. Toujours la première à te battre pour sauver l’honneur de ton frère dont les gens se moquent. Ils se moquent parce qu’ils ne comprennent pas. Tu te glisseras sous sa couette pour rester à ses côtés, tu le sens, il va mal, de plus en plus mal et tu te sens impuissante. Pour faire oublier cela à tes parents tu donneras ton premier baiser à l’un de tes professeurs, marié, père d’un petit garçon. Ce professeur qui sera ton premier plus tard.
     
     Honore ton père et ta mère.
      Tu ne parles plus à tes parents depuis une quinzaine de jours. Pas un mot ne sort de ta bouche. Juste un regard glacial, les bras croisés, tu ne manges pas non plus. Pas pendant les repas. Tu fais cette fausse grève de la faim. Tu ne te laisses pas mourir pour autant, mangeant en cachette quand tu ne tiens plus. Tu passes le plus de temps possible loin d’eux, loin de la maison. Cette maison beaucoup trop vide. Ton frère ne passe pas l’été avec toi. Tes parents ont prit la décision de l’envoyer dans ce camp pour lui remettre les idées en place après sa tentatives de suicide. Et toi que peux tu faire ? Tu fouilles à la recherche de l’adresse du camp dans lequel se trouve ton frère. Une colonie pour filles à problèmes. Dans le fond, tu es étonnée de ne pas t’y trouver, toi aussi. Sans doute voulaient-ils vous séparer ! Mais ils ne savent pas combien ce lien qui vous unis est fort. Et tu mets tout en œuvre pour le retrouver ton prince. Tu auras l’aide de quelques amis. Du grand frère d’une d’elle qui vous conduira au camp où tu retrouveras Fall. Tu organiseras son évasion. Et vous passerez l’été loin de tout, loin de vos parents. Un été qui aura le goût de la liberté. Et c’est cet été là que tu lui proposeras de se renseigner pour commencer à changer. Pas seulement à se cacher, cacher les même formes que tu pas aborder fièrement sur ton corps de jeune femme. Ou par ses habits masculins qu’il porte quand il le peut, quand vos parents ne lui imposent pas de porter ces robes, ces jupes. Vous ferez des recherches pour savoir comment il faut s’y prendre. Comment cela peut se dérouler. Un médecin vous écoutera, mais pour la procédure, il vous faut l’accord de vos parents. Attendre votre majorité ou vous émanciper.
     
      Tu ne tueras point.
      Vous êtes au dessus de cette tombe. Ce n’est qu’une boite remplis de souvenirs, une boite remplis de choses féminine appartenant à Fallon. Son acte de naissance aussi ! Elle est morte. À vos yeux, Fallon n’existe plus ! Fall peut commencer à vivre. Tu lui tiens la main. Tu peux lui sourire. Tu places cette boite au fond du trou que vous avez fait dans ce cimetière, à l’abri des regards, vous faites cette cérémonies entre vous. Marquant le début de sa nouvelle vie. Vous venez de tuer ta sœur pour faire naître ton frère de façon officielle. Tu grattes cette allumette qui s’enflamme entre tes doigts. Tu la tends à ta moitié pour qu’il mette feu à cette boite. Tu regardes le carton s’embraser et le prénom de Fallon disparaît. Le vigile des lieux vous remarque, vous menace, vous prenez la fuite mais votre cérémonie touche à sa fin. Ta sœur n’est plus ! À ce jour et pour le reste de votre vie, ta moitié sera ce frère que tu vois depuis tant d’années.
Tu finis la gueule fracassée ! Ce type avec lequel tu t'es mise en couple, il est violent. Souvent en colère et il n'aime pas que tu lui répondes. Il lève le point facilement. Mais tu gardes la tête haute. Ton frère, tu ne lui dis pas ce qu'il se passe, il n'a pas besoin de savoir cela. Tu caches tes bleus sous tes vêtements. Tu restes cette femme forte, souriante. Cette femme qui s'emporte. Tu le quittes et pourtant, tu reviens vers lui. Est-ce l'amour ou juste de la bêtise ? Tu es cette femme qui aime jouer avec le feu. Et lui, il attise une flamme en toi que tu ne connaissais pas ! Mais les coups pleuvent et il te fatigue. Tu te lasses de cette relation néfaste. Tu le quittes une nouvelle fois, pour de bon. Tu ne reviens pas vers lui, c'est lui qui vient à toi et ça, ça ne lui plaît pas ! Si tu n'es pas à lui, tu ne seras à personne. Ce couteau qui entre dans ta chaire, qui te laissera une trace à vie, tu le retourneras contre lui. Mais toi, tu ne le loupes pas... C'est finis !
     
      Souviens-toi du jour du sabbat.
      Repas de noël, cette dinde qui se découpe délicatement alors que ton père s’affaire à remplir les assiettes de chacun, tout semble si bien se passer. Si ce n’est ta sœur, ton frère, dans cette robe ridicule qui ne lui va pas, tout autant que cette perruque que tes parents lui ont imposé. Tu souris à ta grande tante à côté de laquelle tu te trouves et qui te demande comment se passe les cours. Tu te mets alors à poser des questions sur le sexe. Juste pour choquer, provoquer, pour détourner l’attention de ton frère. Tout ce beau monde lui disant qu’elle était si belle, aussi belle que toi. Adorables les jumelles ce soir, elles sont si mignonnes dans leurs petites robes. Tu détournes l’attention de cette conversation qui tourne encore autour de ce changement qui n’est pas accepté. Et tu y vas fort, trop fort peur être. Tu choques ta tante qui en laisse tomber son verre de vin rouge, qui tache cette belle robe blanche qu’elle portait si bien. « Ah merde, je me rend compte que je n’ai pas eu mes règles ce mois-ci, j’espère que je ne suis pas enceinte, tu en penses quoi tata, je devrais faire un test ? » Il ne faudra pas longtemps à tes parents pour t’emmener voir le médecin.
     
      Tu ne voleras pas.
      Tu aimes te mettre dans de beaux draps, dans tous les sens du terme. Tu enfiles ce bracelet montre à ton poignet, ce bracelet qui n’est finalement qu’un accessoire. Un accessoire qui t’aurait coûté une belle somme si tu l’avais acheté. Ce bracelet que tu ne regardes même pas pour en lire l’heure qui s’affiche, attrapant ton téléphone pour cela. Ton partenaire te regarde, un sourire aux lèvres alors qu’il s’attrape cette clope, t’en proposant une. Ce que tu refuses. « Tu ne fumes pas après l’amour ? » Tu ris, tu lui réponds finalement qui si. Tu finis de t’habiller pour t’échapper de cette chambre et avant de disparaître, tu rétorques que tu fumes que lorsque tu as joui. Ce qui est faux, car finalement, même lorsque tu as prit ton pied, tu ne fumes pas toujours, mais ainsi, tu sais qu’il ne va pas te rappeler ! Traversant l’appartement qui n’est pas le tient, comme à chaque fois, tu emportes avec toi un souvenir. Et l’argent que tu trouves dans le porte-feuille de ce jeune homme. Il est idiot, il le laisse là, pourquoi ne pas te servir ! Cela, tu ne le fais pas avec tous, ceux qui sont mauvais, c’est comme un dédommagement pour te laisser sur ta fin ! Après tout, lui, il a prit son pied ! Tu préfères largement quand tu les abandonnes au petit matin pour aller bosser. Quand tu as put t’endormir dans les bras musclés pour une nuit courte mais douce. Quoi que, pas toujours !
     
      Tu ne feras pas de faux témoignage.
      « T’es mignon et je dois l’admettre, fort dans ce qu’on vient de faire, mais on ne va pas tout gâcher en apprenant à nous connaître tous les deux ! » Tu dois le reconnaître, c’était bon de s’envoyer en l’air avec lui, un sacré coup de rein, mais comme toujours, tu prends la fuite. Pas de sentiments, pas d’attache ! C’est la règle que tu t’imposes ! Tu vis cette vie libre et sans compromis avec ton frère. Tu arrives à l’appartement que vous partagez, tu le rejoins dans son lit, virant cette personne qui s’endormait à ses côtés. Sans aucune gêne. C’est lui qui décide de partir, qu’il reste ne te dérange pas. Que tu fasses intrusion dans le lit de ta moitié ne doit pas tellement lui plaire. Tant pis pour lui ! C’est vous ou rien ! Tu viens contre Fall pour le prendre dans tes bras, pour venir t’endormir contre lui, te sentant exténuée. « Putain de Lannister ! » Tu ouvres un œil pour observer ce mec qui se rhabille, tu souris. « Et alors, ça te dérange ? » Tu le regardes faire cette grimace avant de quitter la chambre. Tu es un peu possessive avec ton prince, tu testes les gens qu’il fréquente pour voir si ils sont dignes de lui. Tu sais qu’il le fait aussi avec toi. C’est comme un jeu entre vous. En soirée, vous vous collez l’un à l’autre pour faire fuir les gens un peu trop collant, un peu trop relous. Vous êtes proches l’un de l’autre, tactile, comme vous l’avez toujours été. Parfois au point d’en devenir dérangeant. Mais pour vous, tout est clair, il n’y a rien d’ambiguë dans vos sentiments, cela vous amuse juste de tromper les gens.
     
      Tu ne convoiteras ni la femme, ni la maison, ni rien de ce qui appartient à ton prochain.
      Un autographe que tu signes à cette personne qui te reconnaît, qui reconnaît ta voix qu’il écoute tous les matins. Un selfie pour garder un souvenir de sa rencontre avec la petite célébrité que tu es. Une simple animatrice radio dans cette émission à succès que les gens écoutent en se réveillant chaque matin pour se rendre au travail. Tu aimes cette notoriété, jouer les petites célébrités. Tu en joues pour demander des choses gratuites. Promettant d’en parler sur les réseaux pour finalement les tester, les détester, et les jeter. Il n’en faut pas beaucoup aux gens. Mais ce que tu préfères faire, ces de monter ces petites magouilles avec ton frère. Gagner cet argent sale, de façon malhonnête. Le monde est ainsi, sale. Pourquoi faire le bien quand le bien vous a oublié. Tu aimes mener cette double vie. Tromper les gens, jouer la bonne citoyenne, honnête qui n’a pas peur de dire ce qu’elle pense à la radio. Ou plutôt, de dire ce que les gens veulent entendre. D’ailleurs, tu n’aimes pas tellement ton patron, cet homme un peu gros, aux mains baladeuses. Un jour, il se retrouvera avec ta main dans la figure et un procès pour harcèlement alors que pour l’avoir ce poste, tu n’as pas hésité à user de tes charmes pour qu’il te choisisse toi et non une autre. Tu obtiens ce que tu convoites !

Pingu a écrit:

A tes méchantes blessures. Au rapport mon capitaine ! Femme, encore assez jeune, qui rp depuis une bonne dizaine d'années, bien sous tout rapport.. Ah non, ça peut être pas... Bref, un peu de mystère Diantre ! *fuiit*
kezako, ton perso. Pheelia a vue le jour dans ma petite tête, elle a prit de plus en plus de place et tout s'est accéléré quand avec Fall, on a commencé à mettre nos idées en communs, et Bim Bam Boum, les duos est né ! Ils avaient besoin de voir le jour    

Hé oui, te voilà validé.e !
Pour débuter ton aventure ici, je te conseille d'ores et déjà de passer dans les fiches de lien pour y déposer la tienne, afin de tisser ta toile sociale. Si tu as des envies de lien, n'hésite pas aussi à faire un tour dans le répertoire, faceclaim des membres du forum, certains te taperont sans doute dans l'œil.
Souci purement administratif et organisationnel, merci de venir recenser ton logement ce qui t'aidera sûrement à envisager des liens, et aussi ton métier merci. + depuis peu, il faut recenser aussi les activités illégales de ton personnage juste là.
La plume te démange, je le sais, je le vois. Nous avons mis à ta disposition une loterie des rps si tu souhaites confier ton destin au big brother farceur (si t'as le cœur bien accroché, tu vas t'éclater).
Pour ce qui est du reste, le flood, les jeux, nous te laissons vagabonder dans le forum, partir à sa découverte, sur des territoires inconnus, qui sait. Tu as néanmoins accès à ton mini-flood d'intégration, pour commencer.

deux activités te sont proposées dès le départ. D'abord, big brother en appelle à toi et à ton arrivée ici pour donner de l'eau au moulin de son site internet nauséabond, big brother.org De plus, une grande soirée a lieu dans le casino du black bird. Tu y as été invité.e, bien que ton invitation semble s'être égarée. Cette soirée est masquée (non dans le sens covid time, cela va de soi ) , le fait d'être caché paraît autoriser l'expression la plus pure de ses démons.